Le succès de Blackwater, saga familiale matinée de fantastique, totalement addictive, nous a donné envie de vous présenter d'autres ouvrages de cet éditeur aux couvertures soignées et aux textes de qualité
En rentrant chez elle un soir, la famille Navidson découvre qu'une nouvelle pièce a surgi dans leur maison. L'explication la plus étrange devient rapidement la plus évidente:
Leur foyer est plus grand à l'intérieur qu'à l'extérieur. Lorsqu'une nouvelle porte apparaît dans le salon et donne sur un couloir obscur, Will Navidson, photoreporter de renom et aventurier intrépide, décide de mettre sur pied une équipe d'explorateurs afin d'étudier ce passage sans fin où l'obscurité semble vouloir déchirer les rêves et dévorer la raison. Entre récit fantastique, énigme littéraire et mise en abyme, ce roman captivant se confie comme un trésor de générations en générations. Aujourd'hui et pour la première fois, il est offert aux lecteurs français dans une édition entièrement remasterisée en couleurs.
De San-Francisco au Canada, de trains de marchandises en fumeries d'opium, d'arnaques en perçages de coffres, du désespoir à l'euphorie, Jack Black est un bandit: parfois derrière les barreaux, toujours en fuite. Avec ironie, sagesse et compassion, il nous entraîne sur la route au tournant du XXe siècle.
Personne ne gagne est un hymne à une existence affranchie des conventions. Qu'il soit hors-la-loi, opiomane ou source d'inspiration pour Kerouac et Burroughs, qu'importe, qu'il vole au devant de la déchéance ou qu'il flambe comme un roi, qu'importe, Jack Black n'est guidé que par son amour de la liberté.
C'est dur, inoubliable, profondément américain. Black est peut-être un vaurien, mais aussi un conteur né qui joue avec son passé afin de nous remuer, de nous remettre sur le droit chemin.
Kansas, 1945. La paix n'arrange pas tout le monde. Jack a 15 ans, une mère qui tapine, un beaupère en taule, un passé inimaginable entre violence et dépravation, et un rêve : échapper à la misère en s'engageant dans l'armée. Lui aussi veut dézinguer du Jap, connaître la gloire et s'envoyer en l'air. De Whichita à Shanghai, de l'Allemagne à la Corée, Jack trimballe son désir infini dans une odyssée sexistentielle où gifle comme caresse, tout est bon à prendre, du moment que ça laisse une marque. Avec sa voix de prolétaire, rauque et fougueusement explicite, Earl Thompson a écrit un livre aux bords tranchants, aussi honnête qu'inoubliable.
Tattoo est le portrait poignant d'une existence où les estropiés de la vie, ceux du mauvais côté de la barrière, échouent toujours à atteindre le bon.
Dans un futur lointain, après que les feux nucléaires aient ravagé le monde, les hommes sont revenus à l'âge de fer, et leur survie est sans cesse menacée par les chiens mangeurs d'hommes.
L'ignorance, la peur et les superstitions ont pris le pouvoir, et la langue n'est plus qu'un patois menaçant et vif où subsiste des fragments du passé. C'est là qu'Enig Marcheur, douze ans, va se mettre à écrire les aventures qu'il mène à la poursuite de la Vrérité sur les pas des hommes à l'origine du Sale Temps. Road-movie postapocalyptique, Enig Marcheur est avant tout une oeuvre profondément humaine qui s'interroge sur la survie, les croyances, la manipulation et l'espoir. Raconté avec les mots d'un enfant de douze ans dans la seule langue qu'il connait.
Des côtes de l'Oregon à Portland, en passant par des torrents bouillonnants ou des cascades à-pic, qu'il y croise une sirène, un cadavre ou un chien philosophe, Gus Orviston est un prodige de la pêche. Oscillant entre désespoir et euphorie, une prise après l'autre, il nous entraîne avec drôlerie, sagesse et poésie dans sa quête du cours d'eau parfait, celui qui répondra à toutes ses questions. La Rivière pourquoi est un hymne à une existence réconciliée avec nos passions et nos obsessions.
C'est libre, c'est foisonnant, c'est profondément tendre. David James Duncan est un conteur hors pair qui nous offre une odyssée spirituelle en forme de roman un peu fou, lyrique et surtout très drôle. C'est du Ken Kesey, c'est du Jim Harrison, c'est du Richard Brautigan.
Années trente, alors que dans la chaleur de la Louisiane, ses ennemis manoeuvrent pour prendre sa place, Willie Stark, «l'enfant humilié» devenu gouverneur, se découvre un nouvel adversaire : le vertueux Juge Irwin. Le Boss charge alors Jack Burden, narrateur cynique en quête de sens, du fardeau de déterrer la vérité, car dans un monde de corruption « il y a toujours quelque chose à déterrer ». Mais déjà le Temps agit, le passé met en place le futur et tous les hommes du roi montent sur scène pour la tragédie à venir. De l'angélique Anne Stanton, à la diablesse Sadie Burke en passant par Adam l'esthète et Sugar-Boy le porte flingue, chacun jouera son rôle dans ce magistral roman à l'écriture époustouflante, qui de la vie donne son image la plus juste et poignante : celle de la fragilité.
Alors que la grève installée à Wakonda étrangle cette petite ville forestière de l'Oregon, un clan de bûcherons, les Stampers, bravent l'autorité du syndicat, la vindicte populaire et la violence d'une nature à la beauté sans limite. Mené par Henry, le patriarche incontrôlable, et son fils, l'indestructible Hank, les Stampers serrent les rang... Mais c'est sans compter sur le retour, après des années d'absence, de Lee, le cadet introverti et rêveur, dont le seul dessein est d'assouvir une vengeance. Au-delà des rivalités et des amitiés, de la haine et de l'amour, Ken Kesey, auteur légendaire de Vol..., réussit à bâtir un roman époustouflant qui nous entraîne aux fondements des relations humaines. C'est Faulkner. C'est Dos Passos. C'est Truman Capote et Tom Wolfe. C'est un chef-d'oeuvre.
A Attrape-Flèche, en plein bayou du Mississippi, au coeur d'une faune sauvage et d'une flore luxuriante, on aime, on flingue, on cherche comment percer dans le show-business... Tout ça, peut-être, pour oublier que sous la surface des eaux sombres où s'égarent parfois des dauphins, il n'y a qu'un grand vide silencieux. Un soir, quand deux "gentils enfants" - en vérité, des tueurs sans pitié venus braquer la station-service du coin - se font abattre, les déflagrations seront perçues bien au-delà, et très vite, c'est la ville entière qui sera sous le choc.
Que ce soit Hydro, le jeune amateur de tartes aux pêches, le Prince des Ténèbres et ses envolées théâtrales, le doux shérif Chisholm et sa splendide épouse, ou Morgan l'as de la gâchette, tous vont se demander au fond d'eux-mêmes s'ils ne sont pas responsables du drame, et partir en quête de cette paix intérieure qui leur fait défaut depuis trop longtemps et que seuls des proches peuvent apporter.
Par une écriture limpide, presque fluide, tout en rythmes et sonorités, La Mélancolie de celui qui vise juste de Lewis Nordan nous balade d'être en être et de coeur en coeur comme une chanson de blues. Il nous offre un récit onirique marqué d'un optimisme lumineux, et si l'humour affleure, c'est pour mieux révéler l'humanité, dans sa beauté et ses fêlures. En 1995, alors qu'il a une cinquantaine d'années et quatre livres derrière lui, Lewis Nordan, profondément marqué par le suicide de son plus jeune fils l'année précédente, entame l'écriture d'un roman qui, il ne le comprendra que plus tard, lui servira de salut.
Si La Mélancolie de celui qui vise juste est, d'après lui, un récit sur la solitude impitoyable chevillée à l'homme, page après page, néanmoins, c'est le contraire qu'il nous prouve, pour finir par faire briller les liens inextinguibles qui nous unissent. Né en 1939 dans l'Etat du Mississippi qu'il ne quittera jamais vraiment, Lewis Alonzo Nordan fait partie de ces écrivains qui tissent leurs histoires sur la frontière floue entre légendes et mensonges.
Docteur en littérature et auteur d'une thèse sur Shakespeare, il devient professeur d'université et, passionné par son travail, ce n'est qu'à quarante-cinq ans qu'il publie son premier recueil de nouvelles, qui l'inscrit instantanément dans la lignée de Faulkner ou O'Connor. Lewis Nordan continue d'enseigner tout au long de sa vie avant de prendre sa retraite. Il meurt des suites d'une pneumonie à soixante-douze ans.
C'est parfois dans les collines verdoyantes et idylliques que se terrent les plus terrifiantes menaces.
C'est là aussi que va se dérouler cette vibrante épopée de courage, de loyauté et de survie. Menés par le valeureux Hazel, une poignée de braves choisit de fuir l'inéluctable destruction de leur foyer. Prémonitions, ruses, légendes vont aider ces héros face à mille ennemis et les guider jusqu'à leur terre promise, Watership Down. Mais l'aventure s'arrêtera-t-elle là ?
Aimé par des millions de lecteurs, l'envoûtant roman de Richard Adams fait partie de ces odyssées sombres néanmoins parcourues d'espoir et de poésie. Parfait équilibre d'aventure et de mythologie, ce bijou d'inventivité serti d'une maîtrise absolue du suspense est tout simplement le chef-d'oeuvre d'un immense d'écrivain.
Si ce roman singulier commence aux dernières heures de 1999 dans un luxueux appartement de Manhattan, il ne s'achèvera que dans l'infinité lugubre du cosmos. Entretemps, nous aurons eu droit à un réveillon fin de siècle, à un inventaire de maladies improbables, au sacrifice d'une oeuvre d'art sur l'autel des maîtres d'Hollywood, à une romance fleur bleue, à la démonstration salace du pouvoir des producteurs de cinéma et à un étrange voyage à demi endormi. Au centre de tout ceci, dans l'oeil aveugle de l'ouragan : Saul Karoo, tout de cynisme et de lâcheté, balle perdue de notre époque, archétype des dictateurs de notre monde, une bête pour qui vérité et mensonge sont interchangeables, et la morale rien d'autre qu'un parfum que l'on met pour séduire les âmes fragiles.
Sur deux décennies, le destin de la famille Chance depuis le milieu des années 1960 : entre un père aux rêves brisés et une mère obsédée par la religion, quatre frères doivent trouver leur propre manière d'appréhender un monde rempli de contradictions.
Je jette donc je suis. Et si nous étions tous les déchets de quelqu'un ? Un jeune couple squatte un apparte¬ment new-yorkais et vit de récup et d'eau fraîche ; un linguiste enlisé dans la crise de la cinquantaine jongle entre sa femme infidèle et l'Alzheimer de son père ; une veuve du 11 Septembre ¬s'inter¬roge sur son avenir et celui de sa famille recom¬posée. Leurs points communs ? Le désir et le rejet, qui les poussent - chacun à sa façon - à vouloir toujours plus, ou toujours moins, jusqu'à ce que leurs mondes délabrés en viennent à se frôler.
A travers ces portraits de femmes et d'hommes jetés dans le monde, ces êtres aussi ¬magnifiquement banals et uniques que les détritus qu'ils produisent, Tu ne désireras pas est un miroir tendu où l'or le dispute à l'ordure. Satire acide de notre société, ce roman profond capture par sa langue ¬fascinante l'anxiété et le désespoir qui se dégagent de nos excès. Rédemption pleine de tendresse, Tu ne désireras pas de Jonathan Miles fouille néanmoins nos existences pour voir si dans les décombres il ne resterait pas quelques morceaux d'amour, encore fumants.
À Diablerouge, à la frontière avec le Canada, dans les années 1960, l'époustouflant inspecteur Gould se trouve confronté à une vague de crimes singuliers qui secoue la ville : tronçonnage de tableaux, vol d'angoisse, fuite artistique... Saura-t-il les résoudre ? Décèlera-t-il les liens entre eux ? Comprendra-t-il que dans l'ombre quelqu'un, patiemment, arme un piège destiné à l'anéantir, lui et ses idéaux ? Matt Kindt, auteur des magnifiques Super Spy et L 'histoire secrète du géant, porte un regard lucide et plein d'empathie sur des criminels qui, à travers leurs méfaits, cherchent plus un sens à la vie qu'à s'enrichir. Roman graphique machiavélique et irrésistible jeu de piste livrant une réflexion sur l'art et la morale, Du sang sur les mains doit autant à Usual Suspects qu'à Conan Doyle.
Dans la Maison, vous allez perdre vos repères, votre nom et votre vie d'avant. Dans la Maison, vous vous ferez des amis, vous vous ferez des ennemis.
Dans la Maison, vous mènerez des combats, vous perdrez des guerres. Dans la Maison, vous connaîtrez l'amour, vous connaîtrez la peur, vous découvrirez des endroits dont vous ne soupçonniez pas l'existence, et même quand vous serez seul, vous ne le serez pas vraiment. Dans la Maison, aucun mur n'est un mur, le temps ne s'écoule pas toujours comme il le devrait et la Loi y est impitoyable. Dans la Maison, vous atteindrez vos dix-huit ans transformé à jamais et effrayé à l'idée de devoir la quitter.
Barnaby Gaunt, orphelin turbulent et héritier d'une immense fortune, est envoyé pour les vacances d'été sur une île à la nature luxuriante et aux habitants vieillissants au large de la Colombie Britannique. Vitres cassées, animaux effrayés, très vite, il bouleverse la routine des insulaires, avant de découvrir la véritable raison de sa venue : son oncle diabolique veut l'assassiner. Décidé à ne pas se laisser faire, Barnaby, aidé de Christie, la seule petite fille de l'île, comprend qu'il n'y a qu'un moyen d'en réchapper, éliminer l'oncle en premier.
Captivante, malicieuse, sombre et souvent drôle, Et c'est comme ça qu'on a décidé de tuer mon oncle est l'histoire étonnante de deux enfants ordinaires qui conspirent pour accomplir un meurtre extraordinaire.
Ce récit, véritable précurseur des Désastreuses aventures des orphelins Baudelaire, à la morale dérangeante, nous montre que l'horreur peut être moquée, que la mort peut être réjouissante et que loin d'être malsain, l'humour noir est un des meilleurs remèdes qui soit. oeuvre intelligente, à l'écriture foisonnante, impossible à lâcher, elle se révèle un peu plus à chaque lecture et remettra en question toutes vos certitudes.
Zephyr, dans l'Alabama, est une ville idyllique pour Cory Mackenson, onze ans. La vie y est simple et si parfois les comètes zèbrent son ciel, c'est un incroyable terrain de jeu. Un matin malheureusement Cory et son père sont témoins d'un accident : une voiture finit dans les eaux sombres du lac. Malgré une tentative de sauvetage, le conducteur plongera dans les profondeurs et le père de Cory dans l'horreur. Alors que le jeune garçon s'efforce de comprendre le mal qui les tourmente, ses yeux s'ouvrent sur les forces qui l'entourent : d'une sorcière qui entend les morts et envoûte les vivants, à un clan qui agit à la pleine lune, en passant par un monstre marin, Cory va affronter les secrets qui se cachent dans l'ombre de sa ville natale, car la santé des siens et sa propre vie sont en jeu...
Et s'il existait des individus capables de manipuler la mémoire des autres ? Et si certains, en ayant accès aux pensées des êtres vivants à proximité, pouvaient prédire le futur ? Et si quelqu'un, visualisant le moindre défaut dans chaque chose, bâtiment, arme ou homme, s'en servait pour la détruire ? Et si toutes ces personnes aux pouvoirs terrifiants étaient réunies au sein d'une même agence gouvernementale qui agit dans l'ombre ? Entrez dans l'univers fascinant et paranoïaque du MIND MANAGEMENT, préparezvous à douter de tout, à suivre des pistes que vous avez déjà suivies, à vous battre contre des ennemis immortels, à parler avec des dauphins, à remonter les méandres du MIND MANAGEMENT aux quatre coins du globe pour répondre à cette simple question : qui êtesvous en vérité ?
Et s'il existait des individus capables de manipuler la mémoire des autres ? Et si certains, en ayant accès aux pensées des êtres vivants à proximité, pouvaient prédire le futur ? Et si quelqu'un, visualisant le moindre défaut dans chaque chose, bâtiment, arme ou homme, s'en servait pour la détruire ? Et si toutes ces personnes aux pouvoirs terrifiants étaient réunies au sein d'une même agence gouvernementale qui agit dans l'ombre ? Entrez dans l'univers fascinant et paranoïaque du MIND MANAGEMENT, préparezvous à douter de tout, à suivre des pistes que vous avez déjà suivies, à vous battre contre des ennemis immortels, à parler avec des dauphins, à remonter les méandres du MIND MANAGEMENT aux quatre coins du globe pour répondre à cette simple question : qui êtesvous en vérité ?
Et s'il existait des individus capables de manipuler la mémoire des autres ? Et si certains, en ayant accès aux pensées des êtres vivants à proximité, pouvaient prédire le futur ? Et si quelqu'un, visualisant le moindre défaut dans chaque chose, bâtiment, arme ou homme, s'en servait pour la détruire ? Et si toutes ces personnes aux pouvoirs terrifiants étaient réunies au sein d'une même agence gouvernementale qui agit dans l'ombre ? Entrez dans l'univers fascinant et paranoïaque du MIND MANAGEMENT, préparezvous à douter de tout, à suivre des pistes que vous avez déjà suivies, à vous battre contre des ennemis immortels, à parler avec des dauphins, à remonter les méandres du MIND MANAGEMENT aux quatre coins du globe pour répondre à cette simple question : qui êtesvous en vérité ?
Quand Jonathan A. se retrouve à l'arrière d'une voiture avec une vieille naine qui en a après son caleçon, il prend conscience qu'il a peut-être un problème avec l'alcool. Sa première cuite l'avait pourtant initié à l'éphémère magie de la bière : une potion magique qui rend plus beau, plus cool. mais qui le laisse sur le carreau. Un avertissement qui ne l'a pas empêché de mener une double vie : premier de la classe la semaine, dernier des alcoolos le week-end. Sa vie sexuelle est tout aussi erratique, mettant à mal une amitié qu'il croyait indestructible. Puis surviennent les drames, et c'est désormais l'oubli que Jonathan cherche dans les ivresses : celle de l'alcool, bien sûr, mais aussi celles de l'amour et du manque.
Chicago, fin des années 1960. Karen Reyes, dix ans, est une fan absolue des fantômes, vampires et autres morts-vivants. Elle se voit d'ailleurs comme un petit loupgarou : d'après elle, dans ce monde, il est plus facile d'être un monstre que d'être une femme. Un jour de Saint Valentin, au retour de l'école, Karen apprend la mort de sa belle voisine, Anka Silverberg, une survivante de l'Holocauste. Elle décide alors de mener l'enquête et va vite découvrir qu'entre le passé d'Anka au coeur de l'Allemagne nazie, son quartier en pleine ébullition et les drames qui, tapis dans l'ombre de son quotidien, la guettent, les monstres bons ou « pourris » sont des êtres comme les autres, complexes, torturés, fascinants. Conçu comme le journal intime d'une artiste surdouée, c'est un livre époustouflant.
Pâques 1919, alors que les flots menaçant Perdido submergent cette petite ville du nord de l'Alabama, un clan de riches propriétaires terriens, les Caskey, doivent faire face aux avaries de leurs scieries, à la perte de leur bois et aux incalculables dégâts provoqués par l'implacable crue de la rivière Blackwater.
Menés par Mary-Love, la puissante matriarche aux mille tours, et par Oscar, son fils dévoué, les Caskey s'apprêtent à se relever... mais c'est sans compter l'arrivée, aussi soudaine que mystérieuse, d'une séduisante étrangère, Elinor Dammert, jeune femme au passé trouble, dont le seul dessein semble être de vouloir conquérir sa place parmi les Caskey.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ¬addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le premier épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Pâques 1919, alors que les flots menaçant Perdido submergent cette petite ville du nord de l'Alabama, un clan de riches propriétaires terriens, les Caskey, doivent faire face aux avaries de leurs scieries, à la perte de leur bois et aux incalculables dégâts provoqués par l'implacable crue de la rivière Blackwater.
Menés par Mary-Love, la puissante matriarche aux mille tours, et par Oscar, son fils dévoué, les Caskey s'apprêtent à se relever... mais c'est sans compter l'arrivée, aussi soudaine que mystérieuse, d'une séduisante étrangère, Elinor Dammert, jeune femme au passé trouble, dont le seul dessein semble être de vouloir conquérir sa place parmi les Caskey.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), ¬co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi ¬addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le premier épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.
Tandis que la ville se remet à peine d'une crue dévastatrice, le chantier d'une digue censée la protéger charrie son lot de conséquences : main d'oeuvre incontrôlable, courants capricieux, disparitions inquiétantes.
Pendant ce temps, dans le clan Caskey, Mary-Love, la matriarche, voit ses machinations se heurter à celles d'Elinor, son étrange belle-fille, mais la lutte ne fait que commencer.
Manigances, alliances contre-nature, sacrifices, tout est permis. À Perdido, les mutations seront profondes, et les conséquences, irréversibles.
Au-delà des manipulations et des rebondissements, de l'amour et de la haine, Michael McDowell (1950-1999), co-créateur des mythiques Beetlejuice et L'Étrange Noël de Monsieur Jack, et auteur d'une trentaine de livres, réussit avec Blackwater à bâtir une saga en six romans aussi addictive qu'une série Netflix, baignée d'une atmosphère unique et fascinante digne de Stephen King.
Découvrez le deuxième épisode de Blackwater, une saga matriarcale avec une touche de surnaturel et un soupçon d'horreur.