À la fin des années 50, sur les hauteurs de Suresnes, deux policiers découvrent dans une luxueuse villa le cadavre d'une jeune femme, tuée d'une balle en plein coeur...
Revoici le commissaire Raffini, ses grosses moustaches, sa traction avant 15 CV, ses Gitanes fumées à la chaîne et sa manie de fredonner une rengaine du temps. Cette fois, c'est Étrangère au paradis, un « tube » de Gloria Lasso... chanson qui avait fasciné la jeune victime. Raffini va mener toute son enquête en tête à tête avec la voix et les souvenirs de cette jeune femme, qui avait enregistré l'histoire de sa vie sur un magnétophone.
L'univers de Rodolphe est marqué par un souci pointilliste du détail d'époque. Un univers à la Simenon pour la réalité sociale, à la Tati pour le décor, ce qui ajoute à ses histoires policières à énigme le charme d'un voyage dans le temps.
Une enquête policière à la fin des années cinquante. Une enquête à l'ancienne, beaucoup plus complexe et dérangeante que les recherches aseptisées sur Internet... et un tueur en série hors norme. Ces « petits meurtres » vont vous dépayser.
Un assassin ne peut-il être aimable et courtois ? Avoir du coeur ? Éprouver une sincère amitié pour ses victimes ? Le commissaire Raffini découvre ici, par hasard, une affaire extrêmement dérangeante. Elle le mènera de l'ambiance feutrée des maisons de retraite au feu des projecteurs, au fil d'une enquête serrée que Rodolphe nous raconte avec une verve bien à lui.
Un plomb saute et c'est le monde entier qui se retrouve plongé dans l'obscurité.
Quand Tobias Cérigo, petit prof de chant désespéré, armé d'un pied-de-biche, s'introduit ivre dans la demeure du fonctionnaire zélé Luc d'Asmodée, il est loin d'imaginer que ce levier de fortune va dessiller les paupières de millions d'apathiques et faire vaciller la terre entière.
Feuilleton imprévisible et palpitant, récit d'aventures picaresques, parodie biblique truculente, thriller initiatique, roman d'amours éthérés et d'amitiés profondes (à moins que ce ne soit le contraire) mais aussi, et surtout, le tableau baroque d'une société en perdition, subjuguée par des forces maléfiques, qui n'attend qu'un battement d'aile (ange ou papillon) pour déclencher une tempête rédemptrice.
Cette fiction, librement inspirée de faits réels et de témoignages, est déconseillée aux moins de 12 ans.
Octobre 1959.
Le commissaire Raffini reçoit un courrier de province. De Besançon.
On lui annnonce le décès d'une femme, une petite antiquaire.
Pour Raffini, ça pourrait être la routine. Mais cette femme-là, c'est son ex-femme : Nini.
Et cette enquête-là, elle va être bien difficile, commissaire aguerri ou pas...
LE POIGNARD DE CRISTAL
Mystère dans le B-14, le train de luxe qui relie de façon hebdomadaire Marseille à Calais pour permettre aux voyageurs du paquebot en provenance de l'Inde de rejoindre l'Angleterre.
Lors d'une courte escale à Valence, le sous-chef de gare, intrigué par une traînée de sang, repère dans un compartiment un homme égorgé. L'employé a la présence d'esprit de faire détacher le wagon ensanglanté afin de faciliter le travail des enquêteurs sans retarder, outre mesure, l'ensemble des riches passagers dormant dans le train.
Quelle n'est pas la surprise des membres du Parquet dépêchés sur place de constater que la tête de la victime a disparu depuis la découverte du corps, ce qui leur laisse supposer que le meurtrier se trouve encore dans le rapide qui est reparti.
Aussitôt prévenu, le commissaire ROSIC, de la Brigade Mobile de Lyon, se rend à la gare de Perrache. Il est persuadé qu'il y perd son temps, que le crime a eu lieu bien avant Valence et que l'assassin s'est échappé depuis longtemps, ce que semble confirmer l'absence de suspects dans le B-14...
Après un accident cérébral fortuit, la vie bien tranquille d'Alexis Médéor va être irréversiblement bouleversée.
Sans le savoir, il est unique.
À lui seul, il peut changer la destinée de millions de gens. Toutefois, sa singularité va susciter envies et convoitises. Son quotidien paisible et celui de sa famille vont subir les conséquences de la découverte de son don. Poussé malgré lui dans l'action violente pour protéger les siens, il est amené à dépasser ses limites.
Après avoir mené une carrière militaire dans l'élite de l'armée, Jocelyn Eismann occupe désormais une fonction de cadre supérieur dans une entreprise hôtelière internationale. D'un naturel calme, il mène un vie heureuse avec sa famille.
Un week-end de manifestations à Paris, son existence tranquille va se trouver irrémédiablement bouleversée. Qu'adviendra-t-il quand les siens seront subitement confrontés au pire ?
Pourra-t-il gérer la culpabilité de son fils ? Lui sera-t-il possible de changer pour se reconstruire ?
L'HÉRITAGE SANGLANT
Le corps du père Canard, un vieil ermite sans ressource, est retrouvé mort, poignardé, dans la forêt. Dans ses poches, trois cent mille francs en billets.
Le célèbre Commissaire Rosic apprend la nouvelle alors qu'il dîne avec le magistrat de la Région et Jacques Vix, un ancien professeur de philosophie devenu riche à la suite d'un héritage et qui se targue, auprès du policier, de pouvoir dénouer n'importe quelle intrigue à la seule force de sa réflexion.
L'occasion est trop belle pour Rosic de clouer le bec de l'impudent, mais le crime est plus complexe qu'il n'y paraît et Jacques Vix plus perspicace et intelligent que le Commissaire ne l'avait supposé...
LE CHIFFRE QUI TUE !
Monsieur Magloire, personnage énigmatique, vit depuis quelques années à Montélimar dans une belle propriété qu'il a héritée de son cousin et immédiatement vendue, en viager, pour vivre tranquillement de ses rentes.
Un beau matin, il est retrouvé, par sa bonne, pendu dans son salon. Le commissaire de police mandé sur place découvre dans la poche du mort un bout de papier sur lequel est inscrit en rouge le chiffre 131.313.
Monsieur Rosic, célèbre détective et ami du procureur de la République, est appelé sur les lieux pour démêler l'affaire du « Chiffre qui tue ! »...
Jacques Vix, joyeux rentier, ancien professeur de philosophie et, accessoirement, détective émérite et méconnu, croise, par hasard, à Orange, un camarade de guerre avec qui il a partagé les tranchées de Verdun et les éclats d'un même obus.
Heureux de cette rencontre, il accepte l'invitation de son frère d'armes qui veut lui présenter sa femme et lui faire visiter sa propriété composée d'un château, d'une métairie et de terres. Si l'on ajoute qu'un bal et des festivités sont inscrits pour le lendemain soir, le destin a tout prévu pour le distraire...
La soirée se déroule sous les meilleurs auspices jusqu'à ce que, au petit matin, le valet de ferme soit retrouvé assassiné d'une balle dans la tête.
C'est le commissaire ROSIC qui est chargé de l'affaire, un policier qu'il a déjà côtoyé et ridiculisé lors de précédentes enquêtes...
ROSIC ne tarde pas à miser sur le coupable idéal, au grand dam de Jacques Vix qui, pourtant, décide de ne pas se mêler de cette histoire.
Mais, chassez le naturel et il revient au galop, un indice passé inaperçu aux yeux du représentant de la justice va émailler la volonté du pédagogue dont l'envie de connaître le fin mot du mystère sera le plus puissant des carburants...
Les habitants de Rochelongue sont en émoi, Mlle Fabrègue a été retrouvée étranglée chez elle.
Les autorités concluent rapidement à un crime crapuleux et les soupçons se tournent tout naturellement vers « La Griotte », un fainéant de bas étage qui jardine parfois pour la victime afin de gagner de quoi se saouler.
L'homme qui possède la clef du jardin est autorisé, lorsqu'il le désire, à dormir dans la remise.
Qui plus est, « La Griotte » a été aperçu, le soir du crime, pénétrant dans le jardin de Mlle Fabrègue.
Tout irait pour le mieux pour le substitut, si « La Griotte » n'avait pas un alibi inaltérable.
C'est alors au Commissaire Rosic d'entrer en jeu pour démêler cette histoire de faux semblants.
À Chantepie-de-Tricastin, c'est l'affolement. Le très respecté M. Numa Courtiol est retrouvé, au petit matin, mort, dans son lit, un poignard planté dans le coeur.
Dans la maison, ni la nièce du défunt, ni la bonne, ni même le jardinier, n'ont entendu le moindre bruit et nulle trace d'effraction n'a été découverte.
Le commissaire ROSIC, chargé de l'enquête, a tôt fait de repérer le suspect idéal dans la personne de Marcel Lautier, un poète dépouillé de ses derniers biens par la victime qui lui avait prêté de l'argent, jadis, et qui, par défaut de remboursement, s'était approprié sa demeure familiale.
Les menaces prononcées par l'artiste ainsi qu'un témoin affirmant avoir vu ce dernier escalader le mur ceignant le jardin de Courtiol, la nuit du crime, finissent par convaincre le policier.
Mais Cédoine, un musicien talentueux et reconnu, vieil ami de l'écrivain, persuadé de l'innocence de celui-ci, va s'exercer à la profession d'enquêteur dans le but de trouver le véritable assassin...
« KatreCar » ou, tout simplement, « 4/4 », est une collection d'ouvrages composés de Quatre nouvelles policières de Quatre auteurs différents, offrant, chacune, un bon Quart d'heure de lecture.
Quatre gros Quarts d'heure... donc, plus d'une heure de détente par livre, proposée par de grands noms de la littérature policière ainsi que par des auteurs confirmés dont le nom ne résonne désormais plus qu'aux oreilles des amateurs...
1/4 : Le vol de la valise diplomatique de Jacques BELLÊME
2/4 : La peur du crime de Marcel ROSNY
3/4 : Monsieur Coquille, policier de Rodolphe BRINGER
4/4 : Le coup du chewing-gum de René PUJOL
À dévorer sans modération, les opus de la collection « KatreCar » sont parfaits pour combler divers moments de la vie quotidienne, aussi bien dans les transports en commun que dans une salle d'attente, mais aussi pour les petites fringales littéraires qui peuvent se déclencher à tout instant de la journée.
L'effroi étreint les villageois de Chantepie lorsque la vieille Madame Valadin est retrouvée étranglée dans son lit.
Les soupçons du commissaire ROSIC, chargé de l'enquête, se portent très rapidement sur Mademoiselle Aurélie, la bonne de la défunte, d'autant que celle-ci a disparu mystérieusement.
Le policier est sûr de son fait ; pourtant, il va devoir réviser son hypothèse à la découverte du corps de la domestique au fond d'un ravin proche...
« KatreCar » ou, tout simplement, « 4/4 », est une collection d'ouvrages composés de Quatre nouvelles policières de Quatre auteurs différents, offrant, chacune, un bon Quart d'heure de lecture.
Quatre gros Quarts d'heure... donc, plus d'une heure de détente par livre, proposée par de grands noms de la littérature policière ainsi que par des auteurs confirmés dont le nom ne résonne désormais plus qu'aux oreilles des amateurs...
1/4 : Un vol de diamants de Georges ROUVRAY
2/4 : Le cambrioleur de Rodolphe Bringer
3/4 : L'attentat du train 15 de René DUCHESNE
4/4 : L'énigme du « Transatlantic-Hôtel » de Louis-Ernest CHEVALIER
À dévorer sans modération, les opus de la collection « KatreCar » sont parfaits pour combler divers moments de la vie quotidienne, aussi bien dans les transports en commun que dans une salle d'attente, mais aussi pour les petites fringales littéraires qui peuvent se déclencher à tout instant de la journée.
Rocheplate, petite bourgade de quatre mille âmes, voit son calme usuel perturbé. À potron-minet, le magasin d'horlogerie locale est retrouvé fracturé et, fait étrange, juste un vieux réveille-matin appartenant à M. Louvier est porté manquant.
Cet événement, à lui seul, n'aurait pas justifié le déplacement des gendarmes, du Parquet et du célèbre Commissaire ROSIC, mais la découverte, le même jour, d'un corps sans vie étranglé dans sa chambre, change la donne, surtout que le mort n'est autre que M. Louvier...
Raymond Clarin alias Momond, limonadier, amène son copain Blanchas, artiste peintre, à la fête dans le petit village de Clansayes.
Les amis font bombance toute la nuit, à l'auberge, en compagnie de Listet, un forain, pendant que la compagne de celui-ci, Youpette, tient la cabane à tir à la foire.
Au petit matin, Listet partant à la chasse, Momond en profite pour rejoindre Youpette, son ancienne maîtresse, dans sa roulotte...
Alors que Blanchas prend l'air frais pour se requinquer, il aperçoit le chasseur rentrant bien plus tôt que prévu chez lui, et craignant que le pire arrive, essaie de retenir l'homme fourbu, mais rien n'y fait. Ce dernier pénètre dans sa caravane et constate... que le pire est déjà arrivé... Momond gît au sol dans une mare de sang, égorgé...
LE CRIME DU MORT
À Rochebourg, Me Fouque, notaire, s'inquiète de l'absence de son clerc, Georges Vidal.
Parti à sa recherche, il croise le chemin du docteur Fouace qui, apprenant l'étrange disparition, crie à l'assassinat et désigne, comme meurtrier, Jean Cabri, un marginal vivant seul dans sa ferme familiale.
La police est rapidement chargée de l'affaire et le célèbre commissaire Rosic, de passage dans la région, est convié à participer à l'enquête.
Tous les éléments démontrent la culpabilité du fameux Cabri et ce dernier est promis à la peine capitale.
Mais, Jacques Vix, un millionnaire excentrique, camarade de tranchée de Jean Cabri, fait son apparition, clamant l'innocence de son ami.
La déclaration n'ébranlerait aucunement le commissaire Rosic, si le riche homme ne l'avait déjà désavoué, à raison, dans une confrontation précédente...
UN HOMME VOLATILISÉ
En fin d'après-midi, Gaston Boudouran, un riche négociant en bois, disparaît, à vélo, sur la route qui mène de Pierrelatte à Saint-Andéol.
Le mystère s'épaissit quand la bicyclette de l'homme volatilisé est retrouvée près du cadavre d'une femme inconnue.
Le Commissaire ROSIC, chargé de l'enquête, penche très rapidement pour un rapt crapuleux, notamment, après avoir appris que Boudouran venait de retirer cent mille francs au guichet de sa banque et que ce dernier n'a pas été aperçu par le cantonnier travaillant toute la journée sur la fameuse route.
Mais, quand la jeune femme de Boudouran s'éclipse à son tour, les certitudes s'écroulent au fur et à mesure que l'affaire se complique...
À Rocheplate, Garnoulin est mort ! En rentrant du dîner posthume organisé en l'honneur de son défunt ami, Bastidon a la désagréable surprise, sur le chemin menant chez lui, de découvrir une chaussure... avec un pied à l'intérieur. Sans nul doute, la chaussure et le pied appartiennent à Garnoulin.
Après les premiers émois passés, les autorités font ouvrir le cercueil du mort. Horreur ! Le corps trouvé n'est pas celui de Garnoulin, mais d'un jeune homme inconnu poignardé en plein coeur.
Le commissaire ROSIC, chargé de l'enquête, va être confronté à l'une des plus étranges affaires de sa légendaire carrière.
Le tout premier crime résolu par le célèbre policier.
Je suis un assassin ! J'ai tué un homme ! Nul n'en a jamais rien su ! Personne ne le saura jamais ! Il y a bien longtemps de cela...
Je n'ai aucun remords de mon crime ! Seulement une sorte d'angoisse quand je pense à toutes les émotions par lesquelles j'ai passé !...
Et c'est pour cela que je veux écrire cette effroyable histoire afin de m'en décharger sur le papier. Il me semble que lorsque je l'aurai ainsi contée, mon esprit en sera débarrassé et que je n'y penserai plus !...
Car c'est comme une hantise qui trop souvent m'accable...
Au petit matin, un inconnu est retrouvé mort, la gorge tranchée, dans la salle d'attente de la gare de Coudounan. Aucun moyen de l'identifier, car ses papiers lui ont été volés et son seul signe distinctif est un trèfle tatoué sur sa poitrine.
La police pense immédiatement à un crime crapuleux, mais, devant le peu d'indices, désespère de trouver le meurtrier.
Lors de l'autopsie de la victime, le médecin est intrigué par le tatouage pour l'avoir déjà remarqué sur le torse de l'un de ses patients. Pourtant, il se convainc que ce n'est là que coïncidence.
Mais, bien vite, un accidenté de la route ensanglanté lui est amené et, alors qu'il l'ausculte, le docteur dévoile le dessin de la même plante herbacée aperçue, précédemment, à deux reprises.
Un troisième trèfle, en quelques jours, voilà qui ne peut plus être une coïncidence... !