Caroline Miller
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« Le plus grand livre sur le Sud et ses habitants. » Margaret Mitchell, Autant en emporte le vent.
Porté par la grâce de son écriture, un roman naturaliste d'une grande beauté, hymne à la vie pastorale, au courage d'une mère, à la patience et à la foi irréductible de ces fermiers blancs du Vieux Sud, trop pauvres pour posséder leur terre ; une oeuvre poétique et bouleversante, rythmée par les naissances, les saisons, les drames et les joies.
Prix Pulitzer 1934, Les Saisons et les jours ont connu un succès colossal aux États-Unis, avec pas moins de trente-sept réimpressions de la première édition. Paru en France en 1935, ce livre culte est à redécouvrir.
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The celtic crosses ; les croix celtiques
Caroline Miller
- Talents Hauts
- Mini Dual Books
- 17 Juin 2010
- 9782916238883
Alice, Théo et Antoine rejoignent leurs amis gallois Lucy et Ryan sur l'île du Dragon. Dès leur arrivée, des événements étranges se produisent : ils découvrent une croix celtique et des lettres mystérieuses autour de leurs tentes. Le lendemain, alors qu'ils visitent un château, leur chienne Goldy déterre un trésor. Le premier chapitre en français, le deuxième en anglais, etc. De sorte que, pour connaître la suite de l'histoire, il faut passer... de l'une à l'autre langue.
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Sarah Bernhardt et le docteur Pozzi
Caroline de Costa, Francesca Miller
- Glyphe
- 23 Mars 2013
- 9782358151009
Depuis leur première rencontre au Quartier latin en 1868 et jusqu'à la mort tragique de Pozzi, assassiné par un de ses opérés, Sarah Bernhardt et Samuel Pozzi n'ont cessé d'échanger des lettres, d'amour puis d'affection.
Tandis que Sarah devient la première diva internationale, Samuel, père de la gynécologie française, s'illustrera dans de nombreuses activités : l'écriture, les collections... et même la politique.
Les auteurs de cet ouvrage ont eu accès à plus d'une centaine de lettres de Sarah Bernhardt à Samuel Pozzi. Autour de ces lettres, se tisse l'histoire peu connue de Sarah Bernhardt et Samuel Pozzi, deux êtres gâtés par la nature, séduisants, doués et, chacun dans leurs domaines, perfectionnistes.
« Mon Docteur Dieu... Nul être ne m'est plus cher que vous... Ai-je donc besoin, ami chéri, d'ouvrir la boîte des souvenirs qui nous sont communs pour vous faire respirer le parfum de ces fleurs, cueillies ensemble dans les jardins de la vie ? Je vous aime tendrement, infiniment... Sarah. »