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Claude Dufresne
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Si Bonaparte est célèbre pour ses grandes victoires sur tous les champs de bataille d'Europe, il y a un autre domaine où il a remporté aussi de brillants succès : celui de l'amour. Citons d'abord l'incomparable Joséphine de Beauharnais, la plus forte passion de sa vie. Celle-ci occupe une place centrale dans cette vie hors du commun. Alors qu'il doit partir pour ces expéditions qui feront sa renommée de général en Italie, en Égypte, Joséphine, restée à Paris, se livre à de nombreuses aventures avec d'autres hommes tout en recevant de Bonaparte des lettres d'amour dignes des anthologies amoureuses. La première impératrice tient un rôle essentiel dans la vie de Bonaparte, car elle exerça sur lui une grande influence.
De nombreuses autres femmes jalonnent son parcours amoureux : Marie-Louise, future impératrice, et Marie Walewska, son « épouse polonaise », ainsi que de nombreuses autres femmes moins célèbres. Avec son habituel talent de conteur, Claude Dufresne nous fait revivre la chronique sentimentale d'un être d'exception, dont le coeur savait aussi battre très fort.
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Marie Walewska : L'épouse polonaise de Napoléon Ier
Claude Dufresne
- Pygmalion
- 13 Août 2004
- 9782857049500
Tel un ange, elle a traversé la vie de Napoléon en lui offrant un coeur sincère. Lorsqu'elle succombe à ses sollicitations, elle entre dans une merveilleuse histoire d'amour. Pour l'Empereur, elle devient un havre de sérénité où, loin du fracas des batailles et du tourbillon des intrigues, il peut aimer dans la paix et la quiétude. Sa mort prématurée, en 1817, le laissera profondément meurtri. Claude Dufresne est parti sur les traces de son héroïne jusqu'en Pologne, où il a découvert des documents inédits. Avec son grand talent de conteur, il a réussi le touchant portrait d'une femme ardente, courageuse et pudique qui, de toutes celles aimées par Napoléon, fut la seule à ne l'avoir jamais trahi.
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Quelle prodigieuse aventure que l'existence du duc de Morny ! Sa personnalité d'abord : aux manières raffinées d'un grand seigneur, il joint l'audace, l'esprit d'entreprise et l'absence de scrupules d'un arriviste. Rien n'est banal dans son destin, à commencer par sa naissance en 1811, entourée de ténèbres épaisses, car c'est un enfant de l'amour. Et pas n'importe quel amour : celui d'une reine, Hortense, la belle-fille de Napoléon, et du général de Flahaut, lui-même fils adultérin de Talleyrand. Celui dont le nom officiel est Demorny se fait vite appeler comte de Morny et, après avoir servi en Algérie comme officier, se lance avec succès dans les affaires. Ami du duc de Chartres, dandy, arbitre des élégances, il vit fastueusement grâce à la générosité de sa maîtresse, épouse de l'ambassadeur belge, Mme Le Hon. Avec son atavisme, Morny a hérité du sens du complot qu'il sait mettre au service de son ambition. S'étant rapproché de son demi-frère devenu président de la République en 1848, il le pousse activement vers le trône, ce qui lui fera dire : « Je crois pouvoir déclarer que, sans moi, le coup d'Etat n'aurait jamais eu lieu. » Napoléon III le récompense en le nommant ministre de l'Intérieur. Il entre ensuite au Corps législatif qu'il présidera de 1854 à 1865, et où il saura séduire les députés par ses manières affables, en évitant de leur faire sentir l'autorité souvent pesante du gouvernement. En 1858, l'empereur le nomme membre du Conseil privé,éventuel Conseil de régence, qu'il crée après l'attentat d'Orsini. Morny, alors au faîte de sa puissance, passe dans l'opinion pour l'éminence grise du régime. Dans d'autres domaines, il multiplie les activités : auteur dramatique, spéculateur, créateur de la plage de Deauville et de l'hippodrome de Longchamp, il ouvrira à la France les portes de l'économie moderne en favorisant l'extension du crédit bancaire et l'éclosion du chemin de fer. Il meurt en 1864, empêtré dans le scandale de l'expédition du Mexique. On l'accusera longtemps d'avoir poussé l'empereur dans ce désastre pour ne pas perdre les fruits d'une spéculation menée par ses soins.
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Ninon de Lenclos
Claude Dufresne, Danielle Dufresne
- Telemaque
- Grands Documents
- 13 Mai 2011
- 9782753301238
Claude et Danielle DUFRESNE NINON DE LENCLOS La " sainte patronne " des courtisanes Ninon de Lenclos, "?sainte patronne?" des courtisanes Cédée encore enfant par sa mère à un "?généreux?" protecteur, Ninon de Lenclos enchaînera les conquêtes jusqu'à sa mort, à plus de 80 ans. Femme d'esprit et de lettres, experte dans l'art d'aimer, elle saura charmer les célébrités du XVIIe siècle.
Christine de Suède, Molière, Fontenelle, Richelieu, Scarron, la future Madame de Maintenon et jusqu'à Voltaire, qu'elle rencontrera à la fin de sa vie, seront séduits par cette femme indépendante et spirituelle.
Historien, auteur dramatique, journaliste et producteur d'émissions radiophoniques, Claude Dufresne est l'auteur de nombreuses biographies, comme Appelez-moi George Sand (prix Goncourt de la biographie en 2004) ou Berlioz. Avec son épouse, ils ont retracé à quatre mains le destin unique d'une personnalité hors norme qui séduisait hommes et femmes.
Les Influentes.
Cette nouvelle collection fait revivre des figures qui ont marqué leur époque. Courtisanes, reines, artistes, elles ont su faire évoluer la cause des femmes et leur place dans la société en incarnant leur rôle comme personne avant elles.
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Les ultimes combats qui prcdrent la fin de la guerre la plus meurtrire que la France ait vcue.
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Il y a cent cinquante ans, Frédéric Chopin disparaissait.
En trente-neuf années d'une brève existence, il léguait au monde une oeuvre aussi remarquable par sa richesse mélodique que par son caractère personnel. Chopin, en effet, avait inventé une musique aux couleurs et aux sonorités toutes nouvelles ; musique du coeur, musique de l'âme qui jaillissait comme une source bienfaisante et provoquait, chez ceux qui l'écoutaient, la plus vive émotion. De plus, grâce à une virtuosité incomparable, Chopin ouvrait au piano des horizons nouveaux, imposait une technique éblouissante qui faisait de l'interprète l'égal du compositeur.
Au même titre que Mozart, Chopin est un pur génie de la musique en même temps qu'un novateur. Mais Chopin ne fut pas simplement ce jeune homme romantique que l'on se plaît à décrire ; il fut aussi un personnage plein d'humour, n'hésitant pas, pour divertir ses amis, à faire, à son piano, un véritable "numéro". Il fut aussi un amoureux passionné qui vécut auprès de George Sand une longue romance. Ce sont toutes les facettes du musicien que Claude Dufresne met en lumière dans son livre, ce sont les recoins secrets de son âme qu'il explore, les richesses de sa personnalité que l'auteur s'efforce de découvrir.
Ayant eu dans sa jeunesse le privilège de s'entretenir avec le dernier élève survivant de Chopin, c'est donc un portrait inattendu du grand homme que Claude Dufresne offre à ses lecteurs.
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Grce des documents peu connus, certains indits, des archives familiales demeures inexplores, Claude Dufresne dresse le portrait de la reine Hortense, belle-fille et belle-soeur de Napolon, fille de Josphine, et mre de Napolon III.
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Pendant dix ans, sous le Second Empire, la comtesse de Castiglione fut la femme la plus fascinante et la plus convoitée de la société parisienne. La plus mystérieuse aussi.
Née en 1837 près de Gênes, elle n'a pas dix-huit ans lorsque, déjà mariée, elle est sollicitée par son cousin, Cavour, ministre du royaume de Piémont-Sardaigne, pour se rendre à Paris et convaincre l'empereur Napoléon III de soutenir la cause de l'unité italienne. Nul doute que le souverain ne doive succomber à son extraordinaire beauté. Le stratagème réussit et Virginia, propulsée à la cour, est reçue par les plus hauts dignitaires de l'Empire. Amoureuse de son corps qu'elle ne se lasse pas d'admirer, elle mène grand train de vie, collectionne les amants qu'elle congédie comme des serviteurs et, légende vivante, pratique l'insolence avec maestria. Elle déroute aussi ses meilleurs amis par d'imprévisibles sautes d'humeur et des absences inexpliquées. Ce jeu dangereux lui vaut rapidement la disgrâce.
Après une longue traversée du désert, elle joue à nouveau un rôle éphémère de premier plan, en 1870, suscitant, grâce aux relations qu'elle a conservées, une rencontre secrète entre Thiers et Bismarck, prélude à la signature de l'armistice. Puis, l'âge venant, prenant ses chimères pour des réalités, réfugiée dans une solitude extrême, elle s'enfonce pour de longues années dans l'oubli, couvrant ses miroirs de voiles afin de ne plus apercevoir son visage, et ne sortant plus de l'entresol, où elle se tapit, qu'à la nuit tombante.
Spécialiste du Second Empire, Claude Dufresne réussit ici le difficile portrait d'une femme aussi belle que déconcertante.
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« Alors, mon petit, on vient voir si la vieille remue toujours ses gambettes ? » C'est ainsi que « la Miss » apostrophe l'auteur de ce livre, alors jeune journaliste, venu l'interviewer. On est en 1948, elle a soixante-treize ans et mène tambour battant la revue de l'ABC... Claude Dufresne la reverra souvent, se délectant de ses confidences dont il nous fait profiter ici.
Gosse de pauvres, Jeanne Bourgeois débute à Paris au café-concert en 1893 dans des salles de quartier. Quelques années plus tard, elle règne sur la capitale, séduit Londres, New York, l'Amérique du Sud... et les hommes les plus puissants ! Trois amants royaux, Édouard VII d'Angleterre, Alphonse XIII d'Espagne et Gustave V de Suède, deux princes russes et une foule d'admirateurs passionnés ne lui feront pourtant jamais oublier le seul amour de sa vie, « son » homme, Maurice Chevalier.
Des jambes qui parlent, un sourire éclatant, aussi généreuse que radine, effrontée, culottée, un sens de la repartie sans égal mais aussi, disait Chevalier, un coeur de midinette : on suit avec un plaisir sans mélange cette môme des faubourgs qui, de la Belle Époque aux années d'après-guerre, fut la reine du music-hall et de la vie parisienne. Un régal...
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L'aventure de la marquise de Sévigné est exceptionnelle : elle est devenue célèbre sans le savoir ni même l'avoir cherché, en ne s'adressant quasiment qu'à une seule lectrice, sa fille Françoise. Tour à tour grave ou primesautière, fervente chrétienne ou soumise au doute, elle témoigna d'un optimisme résolu qui l'aida à surmonter maintes épreuves. Elle côtoya les grands hommes de son temps : Louis XIV, Fouquet, Colbert, La Fontaine, Mme de Maintenon, etc. dont elle brossa avec un immense talent les portraits grandeur nature sous un jour intime. Très belle et très courtisée dans sa jeunesse, elle mit un point d'honneur à ne céder à aucun de ses soupirants ni avant ni pendant son mariage. Veuve à vingt-cinq ans, elle s'interdit toute aventure amoureuse jusqu'à la fin sa vie. Elle n'en resta pas moins plongée dans son siècle dont elle vécut avec passion les plus célèbres moments. Pour évoquer cette «bonne marquise», Claude Dufresne a eu accès à des archives familiales, jusque-là inédites, qui lui ont permis de saisir tous les instantanés d'une femme hors du commun.
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Marie-Antoinette a obéi avant tout aux élans de son coeur.
Le besoin d'aimer et d'être aimée l'a entraînée sur des chemins périlleux. Cette obstination à poursuivre l'amour et le plaisir est à la fois son excuse et l'aspect le plus émouvant de sa personnalité. Dans cette biographie, Claude Dufresne cherche à comprendre Marie-Antoinette de l'intérieur. Il s'est penché sur ce destin en tentant de percer les mystères de cette âme si complexe et surprenante. Il raconte en détail les passions qui l'ont animée, notamment celle pour Axel de Fersen.
A force de patientes recherches, d'études de documents peu connus, certains enfouis sous le linceul du temps, en opérant une synthèse entre l'interprétation scientifique des faits et l'analyse psychologique des sentiments, il est parvenu à brosser un portrait de Marie-Antoinette plus humain, plus sensible, plus vibrant que celui légué par l'histoire officielle.
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il a disparu il y a plus de trente ans mais sa légende lui survit et sa tombe est aussi fleurie que celle de claude françois.
claude dufresne l'a bien connu et a pu mesurer l'ampleur du phénomène mariano. des foules en délire à chacune de ses apparitions, des admiratrices pâmées, une voix d'or qui lui aurait sûrement valu une carrière à l'opéra. ii lui préféra la liberté de l'opérette, de la belle de cadix jusqu'au prince de madrid en passant par l'inoubliable chanteur de mexico. quant à sa vie privée, claude dufresne nous livre avec délicatesse le drame intime de ce ténor basque au grand coeur, amoureux fou des femmes et qui pourtant se tenait loin d'elles...
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Mozart raconté aux enfants
Claude Dufresne, Jean-pierre Deruelles
lu par Gérard Philippe- Formulette
- 1 Décembre 2015
- 9782362562150
La vie fascinante de Wolfgang Amadeus Mozart, écrite par Georges Duhamel et racontée par Gérard Philipe.
Les enfants découvrent son talent, ses voyages, ses chefs-d'oeuvre, à travers le récit de Gérard Philipe et des extraits musicaux.
Enregistrement original de 1955.