Denis Ravel
-
Un krack boursier d'envergure mondiale bouleverse l'équilibre financier de la planète. Jack un trader de génie engagé quelques mois auparavant pour faire fructifier l'argent d'une importante triade, va tout perdre dans cette tourmente.
Ruiné par ce qu'il estime être la faute du trader, Monsieur Wong, le patron de La bande des mers lointaines, décide de mettre un contrat sur la tête du jeune français. Il rappelle Madame Xiu, son ancienne maîtresse, une tueuse expérimentée. Il lui demande de « prendre son temps », de tuer le trader psychologiquement avant de le supprimer physiquement.
Cette femme, âgée aujourd'hui d'une quarantaine d'années est retirée des affaires ; cependant, après avoir vu la photo du jeune homme, elle accepte la mission de Monsieur Wong autant par jeu que par défi.
Madame Xiu, une beauté asiatique envoûtante, manipulatrice, doublée d'une femme d'action redoutable, peut commencer la chasse au trader.
-
À cette époque, les fusées porteuses ne sont plus nécessaires, la puissance des moteurs atomiques suffit à propulser les vaisseaux hors de l'espace terrestre.
Le Cybérius traversa donc l'atmosphère à grande vitesse et fut hors de vue quelques secondes plus tard...
À bord les membres de l'équipage seront-ils à la hauteur des dangers à surmonter pour accomplir leur mission? -
«Dans la sainte vision que j'ai eue, la ville dans laquelle nous entrerons demain était semblable aux entrailles de l'enfer. Les corps des infidèles portaient en eux les marques de leur trahison, et une rivière pourpre nourrie du sang des hérétiques inondait les champs de blé fraîchement moissonnés. Dans les sillons, leurs membres désossés offraient aux corbeaux leur chair en putréfaction. L'horizon était rouge, le crépuscule se mariait au sang des coupables en se mélangeant aux flammes de l'enfer. J'ai vu la colère divine.»
C'est par cette diatribe que le Grand Inquisiteur harangue ses troupes avant de pénétrer dans la ville d'Anis et d'assouvir ses visions meurtrières. Égaré dans la folie de sa foi fanatique, Tarquebruda poursuit sans relâche les hérétiques. -
Les aventures de la femme bisonne blanche
Denis Ravel
- La Compagnie Litteraire
- 1 Novembre 2011
- 9782876833173
Émile, modeste professeur de français dans un établissement scolaire de la banlieue parisienne, se voit décerner un prix littéraire pour son roman Les Enfants de demain.
Margot, intriguée par cet homme tout de mesure et de prestance, décide de lui lancer un défi : elle imagine les premières pages d'un roman mettant en scène leurs propres personnages.
Subjugué par l'audace de cette femme mystérieuse qu'on dit d'une rare beauté, Émile n'aura de cesse de répondre à ce duel littéraire. S'installent alors les prémices de ce qui deviendra une véritable joute verbale.
C'est ainsi qu'à l'instar de deux musiciens, Émile et Margot écrivent ensemble, sur le mode épistolaire, une aventure romanesque qui les conduira au coeur de la civilisation indienne après la mise en place des réserves à la fin du XIXe siècle.
Alors que l'ingénieur des chemins de fer traversera les États-Unis d'Amérique, l'ethnologue deviendra la Femme Bisonne Blanche, une très ancienne légende indienne...
Le souffle de l'anéantissement des nations indiennes par l'oppresseur blanc transporte le lecteur dans une épopée mythique éclairée par Wakan-Tanka, le dieu des Indiens.
Finalement, de quel personnage Émile tombera-t-il vraiment amoureux ? Margot, l'énigmatique femme avec qui il écrit un roman ou la Femme Bisonne Blanche qui lui montre d'autres horizons ?
-
Héritières de la légende des Amazones, un groupe de femmes, décidées à changer l'ordre des choses, fait renaître le glorieux passé de ces femmes guerrières : ce sont Les Nouvelles Amazones.
Ce mouvement, entre parti politique et société secrète, entend rendre aux femmes un rôle prépondérant et sage dans la société.
En même temps que leur arrivée à la tête des principales administrations et grandes entreprises, ces conquérantes sont capables de décider de l'élimination de criminels pervers qui humilient et prostituent des femmes à travers le monde.
C'est l'aventure de ces « Amazones » que l'auteur nous convie à suivre à travers une politique-fiction, teinté d'observations pertinentes sur notre société.
Fantaisie destinée à esquisser un monde meilleur, ce récit nous entraîne en réalité dans une aventure contemporaine satirique et cruelle pour le genre humain.
Là ou les hommes semblent avoir échoué, les femmes réussiront-elles ? -
Mémoire de Plume
Au pied de la blanche statue de la Vierge repose un fidèle ami.
Et de cette douloureuse absence naît un chant poétique intense que l'auteur nous offre en partage.
L'auteur est un « voyageur imprudent », le narrateur un stylo Mont-Blanc.
Plusieurs récits s'entrecroisent, tel un chassé-croisé amoureux. La narration à deux voix - celle de la plume et celle d'Edgar, le protagoniste - est une mise en abîme du mythe de la création artistique. Nous sommes en première ligne face à la « lutte » de l'écrivain avec ses personnages, une bataille qui n'est jamais gagnée d'avance, un tumultueux voyage au coeur de la tempête inspiratrice.
Edgar est un Ulysse du quotidien, répondant à l'invitation envoûtante des sirènes de l'écriture, quel qu'en soit le prix à payer.
Le pied d'albâtre aux ongles carmin
« Depuis que cette femme avait, par son pied, accaparé mon regard, elle avait dans le même temps emprisonné mon esprit ». Fantasme ? Fétichisme ? Rêverie amoureuse ?
À la manière de Dante chantant en vers sa Béatrice, l'auteur nous dépeint le manque, la beauté, et l'amour aussi. Une promenade romantique, un songe d'une nuit d'été sur une plage de Normandie...
Ami lecteur prends garde à toi car cette double « ode-yssée » te séduira. -
Jusqu'où la passion et l'amour des livres peuvent-ils conduire ? Edgar collectionneur de livres et animateur d'une maison d'édition à compte d'auteurs, rencontre un jour une jeune femme mystérieuse. Celle-ci lui propose un étrange manuscrit Les Mandibules de la mort. Cette étrangère s'installe peu à peu dans la vie sans relief de l'éditeur. Elle ira même jusqu'à lui demander de voler des livres pour elle. oeQui est cette Aïda qui ressemble étrangement à Ihola, l'héroïne sanguinaire de son roman ?
À l'occasion de son neuvième roman, Les Mandibules de la mort, l'auteur nous transporte dans le monde peu connu de la petite édition et notamment celui très controversé du compte d'auteurs.?À travers les arcanes de la disparition de ses proches et l'observation passionnée de la nature, il nous entraîne dans une histoire où la passion romanesque peut conduire aux affres du romantisme.
-
Nous avons tous ressenti à un moment ou à un autre de notre existence, ces instants magiques où les barrières de notre incompréhension semblaient s'écrouler au profit d'une infinitésimale et parcellaire clairvoyance.
L'ouverture d'une porte vers une autre dimension est toujours éphémère, il faut la saisir avec humilité, elle est un éclair dans notre obscurité quotidienne.
Ce sont ces trop rares instants qu'à travers ce recueil de nouvelles j'ai souhaité mettre en avant.
-
« Puis lentement, Rose rouvrit les yeux et reprit :
Adolescents, l'amour est pour nous une inaccessible chimère. Jeunes, il nous semble comme un fruit aux saveurs exquises et inépuisables que nous consommons sans modération, alors qu'âgés nous en mesurons toute la portée, la puissance. Il devient alors pour nous plus planétaire, nous ne le rattachons plus à une idéalisation de jeunesse ou à un désir charnel, il se transforme en un concept humaniste, comme un don de soi.
Je comprends ce que vous dites Rose, ce que vous essayez de me transmettre. Je comprends.»
-
Lydie, la perverse avocate de la Online Information Web Consortium, rêve de séduire Edgar, un informaticien passionné de romantisme et de littérature, promis à un brillant avenir. Elle le veut physiquement et psychiquement et utilise pour parvenir à ses fins l'ensemble des moyens d'une société avide de cyber-communication : sms, mails, téléphones portables et dialogues en ligne. Entre ces deux êtres fondamentalement différents un affrontement s'engage, le défi est permanent. Un périple à travers le monde allant de Prague à Saint-Pétersbourg, Paris, Osaka, et New York, sera le fil conducteur ténu et distendu de ce « Road Movie » romantique.
-
Le chant du violon ; l'écran noir
Denis Ravel
- La Compagnie Litteraire
- 2 Septembre 2005
- 9782876830363
Le Chant du violon est une love story, mêlant confusément passion musicale, folie et amour du jeu. Des bords du Mékong à Paris en passant par Londres via le Tibet, c'est une ode à l'amour absolu. L'Écran noir raconte le tournage mouvementé du Chant du violon, par une équipe de jeunes cinéastes. C'est lorsqu'il revit le voyage et les volutes de nuages qui semblaient attendre, immobiles sous le ventre blanc de l'avion, qu'il se remémora sa rencontre avec cette énigmatique femme chinoise. Laurent Talent échappe sans cesse à la réalité par le biais du rêve, de la création littéraire et cinématographique. C'est dans cette recherche que nous entraîne ici l'auteur, soutenant son héros dans la quête de l'amour impossible qui permet tous les accomplissements. C'est l'image que l'on ne déflore pas, Le film que l'on ne fera pas, La femme que l'on ne possèdera pas. Il revit leur dîner d'adieu dans ce restaurant accroché au-dessus du vide...C'était la touche presque parfaite de l'inaccompli.
-
Dans le Paris de l'après guerre où une nouvelle vie démarre, Pavel rencontre Jeanne. L'harmonie de leur amour n'est concurrencée que par leur passion commune, la peinture, jusqu'à l'arrivée d'Oshira, l'envoûtante Japonaise avec qui il pactise. En lui offrant ses plus belles toiles, Pavel ne perpétue-t-il pas la tradition de Faust ? L'accomplissement de cet amour le torturera jusqu'à la fin de sa vie, bien des années plus tard. Le soleil était revenu, il se projetait violemment sur la toile vierge, et comme souvent après la pluie, la lumière était translucide et pure comme les eaux d'un lac de montagne jamais violé par les hommes. À cet instant, je compris que je n'arriverai jamais à faire mieux que cette toile blanche irisée de soleil et de clarté. Tous mes efforts et mon travail futur ne tendraient qu'à approcher cette perfection offerte à mon regard. Le lendemain en découvrant cette toile immaculée posée rayonnante sur le chevalet, je décidai d'adapter ma nature morte à la toile. C'était une première. Le désir de l'oeuvre influençait le sujet. En quelques minutes, je changeai les tissus, les fruits, ainsi que les verres et composai ainsi la matière presque vivante de mon obsessionnel chef-d'oeuvre.
-
-
La Natte et nouvelles fantastiques nous entraîne dans des mondes où le fantastique côtoie le quotidien, où le surnaturel est en osmose avec le spirituel. Chacune de ces histoires possède un fil conducteur, la révélation de la dimension fantastique jusqu'à l'accomplissement vers la spiritualité à travers le vecteur de l'amour. - La Natte est la recherche d'une ancêtre disparue à travers un objet fétiche. - Dans Les mondes imaginaires, le promeneur solitaire pénètre un univers aux confins du rêve et de la réalité. - L'auberge des mers lointaines, renoue avec les romans d'aventures. Entre tempêtes, passions et drames. - L'arbre est une étrange histoire de revenance aux accents écologiques. - Hiver est une réflexion sur le vieillissement, l'amour, le temps qui passe, la mort... - Retour sur terre est une histoire d'ange venu observer le comportement humain. - Dominako fait vivre une héroïne de bande dessinée, qui s'échappe de l'album à la recherche de son identité. - Intempora, offre au narrateur égaré dans les couloirs du métro, la protection d'un ange, avec passage vers l'au-delà. - Une Bien curieuse cueillette, entraîne le mycologue dans les profondeurs d'une forêt où son esprit s'égare dans une obsédante recherche.
-
Avec Les Dames du crépuscule, l'auteur nous livre une réflexion sur le temps, la vieillesse et l'oubli. Le temps qui s'écoule lentement et le basculement vers la vieillesse. Comme si on ne pardonnait pas aux femmes de vieillir. Ainsi les Dames du crépuscule s'expriment-elles sur leur jeunesse, leur amour et la vie en général. Sept portraits de femmes qui montrent comment en vieillissant les femmes sont : non pas méprisées, mais oubliées. L'oubli, qui les relèguent presque au rang de fantôme de l'existence. Un hommage au sex présumé faible, beaucoup plus fort qu'on a bien voulu nous le dire dans le passé.
Un Immortel amour nous entraîne dans l'autre monde, celui ou nous irons tous un jour, à la découverte de ce qu'il nous est interdit de connaître de notre vivant : nos origines, notre créateur et ce qui nous attend au moment ou nous franchirons la barrière invisible entre les deux mondes. -
Gaïa terre lointaine ; les amazones Tome 2
Denis Ravel
- La Compagnie Litteraire
- 1 Mai 2015
- 9782876834972
Avec Gaïa Terre lointaine, l'auteur nous conduit dans le second volet de l'aventure de ces femmes héritières du mythique et glorieux passé des Amazones. C'est dans un monde en perdition et proche de sa disparition que les Amazones décident d'intervenir afin de sauver l'humanité de sa fin annoncée.
C'est au Canada dans les territoires du Nord Ouest, au fin fond du grand Nord canadien, près des rives du Grand lac des esclaves et de la ville de Yellowknife que les Amazones décident d'installer leur immense programme Gaïa Terre lointaine, destiné à sauver la planète. Elles souhaitent étendre leur pouvoir, afin de prendre peu à peu la place des hommes dans les postes les plus importants de la société. La réussite et l'argent seront au rendez-vous, mais les femmes remplaceront- elles les hommes aux postes clés des sociétés qui nous gouvernent ?
Une fantaisie librement adaptée des horreurs qui règnent actuellement sur notre planète, matinée d'une pointe d'humour à caractère légèrement sociologique. En fait, une description sans concession du genre humain et de sa façon de vouloir régir le monde. Un monde où les plus forts asservissent les plus faibles sans aucun état d'âme. Un monde sans Dieu, dont pourtant beaucoup se revendiquent.
-
Au sein de l'âme rurale : tribulations d'un homme et son chien
Denis Ravel
- La Compagnie Litteraire
- 23 Décembre 2016
- 9782876835719
Une brume délicate forme comme un halo autour de ce récit de vie à la fois déroutant et fort.
Au sein de l'âme rurale se présente comme une mosaïque où chaque tableau met en lumière une étape de la vie, un bonheur, une déception, une souffrance ou un espoir. Le ton est juste et chargé d'émotion.
Denis Ravel nous livre ici une réflexion extrêmement poétique teintée d'une maturité d'où pourtant la fraîcheur de l'âme n'est pas exclue. Indiana son fidèle compagnon à quatre pattes et muse à ses heures perdues, complète cette réflexion. Un univers poétique à la recherche de certains poètes ruraux disparus. Deux dominantes dans cet ouvrage, la communication avec le monde animal et le regard vers l'inaccessible. Une grande pureté dans la pensée. -
Entretien avec l'auteur
« Quand il m'est venu en tête d'écrire l'histoire d'anciennes héroïnes qui viendraient demander des comptes à propos de leur vie littéraire et de ce que j'avais écrit sur elles, je me suis dit qu'il s'agissait là d'un défi impossible et fou »,
déclare Denis Ravel dans l'avant-propos de son dernier ouvrage Voyageuses temporelles.
Pourtant l'entreprise n'est pas si incongrue,
et elle devient même rapidement une réflexion pertinente sur l'écriture :
Création, solitude, réel ou imaginaire, connections avec des mondes invisibles, autant de questions que l'auteur aborde au fil du roman sans vraiment trouver de réponses, mais il suggère des hypothèses parfois troublantes, entre rêve et réalité.
CL - Ainsi Lydie Jenkins, Aïda et Madame Xiu sortent de leurs trois romans respectifs pour solliciter votre attention et provoquer votre désir.
Elles revendiquent donc une existence au Présent.
Qu'en pensez-vous exactement ?
DR - C'est aussi une réflexion sur le désir amoureux, une héroïne
succède à l'autre, en un cercle incessant qui évoque le Temps.
CL - Vous voulez dire qu'elles veulent se rapprocher de l'éternité ?
DR - En quelque sorte, oui, tout comme l'écrivain qui sent presque
la main d'un ange posée sur son épaule dans ces moments-là.
CL - L'évocation des Ailes du désir planerait-elle sur vos Voyageuses temporelles ?
DR - Si tel est le cas, c'est avec beaucoup d'émotion et de respect que je salue ce rapprochement.
Denis Ravel fait référence ici à trois de ses précédents romans : Aventures romantiques sur le Net, Les Mandibules de la mort et La Tueuse de Hong Kong. Il puise son inspiration tant dans le domaine onirique que dans la fiction narrative, et l'allusion à Wim Wenders renoue avec un entre-deux monde. -
La jeunesse de la tueuse de Hong Kong
Denis Ravel
- La Compagnie Litteraire
- 24 Septembre 2018
- 9782876836303
Dans le Hong Kong des années soixante, la petite Li Xiu voit ses parents assassinés devant ses yeux à l'âge de cinq ans par les sanguinaires soldats de la Triade des Ombres de la Nuit. Elle sera élevée par son Grand-père et protégée par son fidèle chien Ho. À la mort de celui qu'elle appelle Pa.. Pi elle va être recueillie par la famille du jeune Kang, un garçon de son âge qui devient son ami fidèle. Mais cette triade ne lâche que rarement ses proies, ils reviendront et enlèveront la jeune fille à son adolescence pour en faire une esclave. Li subira les affronts et les offenses de viols répétés par les soldats de cette triade maudite, mais jurera de se venger plus tard en tuant ses cinq violeurs. Pour cela elle apprendra le Wing Chun, l'art de combattre, le Karaté et d'autres arts martiaux. Elle va exceller dans le maniement des armes. Li Xiu deviendra une redoutable guerrière, ainsi que l'égérie de la Tête de Dragon de la Triade la Bande des Mers Lointaines. Une incursion aventureuse dans la Chine traditionnelle ponctuée par les aériens combats de la future Madame Xiu, déjà en vedette dans La Tueuse de Hong Kong.
-
Le 29 décembre 1890 disparaissaient à Wounded Knee un peuple tout entier et une civilisation flamboyante.
C'est pour leur rendre hommage que l'auteur, Denis Ravel a décidé de nous faire traverser les légendes indiennes sur un fond d'étude ethnologique aux accents critiques et émotionnels.
Années 1930 : un énorme paquebot en partance pour le Nouveau Monde quitte le port du Havre. Grand événement relayé par la presse de l'époque. À son bord deux passagers vont se rencontrer :
Émile Dufour, universitaire attiré par la littérature, et Margot ethnologue. Elle se rend sur les terres des Indiens Lakotas, il va la suivre.
Ensemble ils découvriront la vie et seront plongés dans une époque aussi grande que belle, « quand les bisons traversaient encore les terres indiennes ».
Trois vieux Indiens n'est pas un roman d'aventures, c'est un regard sur l'histoire des hommes, une réflexion sur les mondes perdus, un témoignage de ce que chacun porte en soi de regret sur la disparition des civilisations.
