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Chloe Des Lys
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NAISSANCE, ÉPANOUISSEMENT ET TRAHISON D'UN GRAND AMOUR.
Loozie Anna dévoile le mythe personnel d'Adélaïde. Son séducteur exploite ce mythe, puis le détruit,et l'abandonne avec un enfant.
Consolée de ses déboires par son amie, courtisée par un musicien, désavouée par l'inflexible proviseur élitiste du lycée Edith Cavell, Adélaïde trouvera-t-elle sa vérité dans un monde enseignant en pleine mutation ?
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Cleve Wood, jeune professeur d'origine britannique, est hébergé chez Karl et Hélène Erhardt, un couple d'amis, dans une banlieue chic de région parisienne. Karl, devenu aveugle, enseigne l'allemand dans le même lycée. Il a épousé Hélène, son ancienne élève de 20 ans plus jeune, pianiste virtuose, l'amour de toute sa vie. Éprise de Cleve, elle s'offre à lui, mais déchiré entre son amour pour elle et l'admiration qu'il porte à Karl, il retourne en Angleterre d'où il entretient avec Hélène une relation épistolaire.
Un passionnant roman en milieu enseignant, sur le conflit entre l'amour et l'amitié, la morale et les impératifs du coeur, la frivolité de la jeunesse et la sagesse de l'âge.
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Décembre 1978. La neige, le verglas et un chevreuil imprudent. Un accident de voiture. Et voilà Jean-Paul, professeur de langues, qui débarque dans la vie d'Isabella, guitariste classique encore méconnue. Coincés par le mauvais temps, ils passeront ensemble une semaine qu'ils ne sont pas prêts d'oublier... A la fois thriller et saga familiale, ce roman vous entraîne dans un voyage sans destination connue.
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Rien ne va plus entre la belle infirmière scolaire résidente et le proviseur du lycée Edith Cavell à Saint-Sauveur. Roméo est décidé à l'abattre, elle et son garnement de fils qui s'est juré de venger sa mère.
Au fil de la campagne présidentielle de 2007 où Roméo s'est jeté à corps perdu, l'amour et la haine, les rivalités politiques et les compromissions, le harcèlement moral et la diffamation se disputent la scène dans une sarabande infernale. L'ombre de l'Elitiste, son prédécesseur, hante les coulisses où se joue le dernier acte d'un drame ponctué par les visites du mystérieux homme aux fleurs. Avec, en filigrane, le spectre de la pédophilie.
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" La morosité de l'existence après un rupture amoureuse...Le narrateur en est là lorsque qu'une nouvelle rencontre bouleverse le cours des choses. Un an et demi durant une relation s'instaure, s'affirme, s'amplifie mais soudain le destin en décide autrement.Une analyse aiguë du cataclysme intérieur . " C. Colson Synopsis Une première partie très structurée, comme un constat chirurgical décortiqué à la loupe. La lectrice que je suis "écoute" le narrateur pendant que défilent les images. Rien ne se perd, tout semble fidèlement reconstruit, retranscrit, dans une méticulosité étonnante.
La deuxième partie se compose de poésies écrites à tous les stades de l'histoire d'amour ; son commencement, son épanouissement, sa fin et la faim de l'abandonné. Elles disent l'essentiel dans une justesse qui me laisse pantoise. Si peu de mots délivrent tant ! Tu portes un regard pointu extérieur/intérieur sur l'instant décrit, et tu choisis magistralement LE mot exact traduisant ce regard. Un tour de force.
La troisième partie, journal intime, déverse la sincérité du chaos de l'après. On redescend dans le coeur de l'homme, dans sa souffrance, cette quasi impossibilité de vivre sans cet amour, ses efforts à la renaissance dans une succession d'états désespérés. Le choix du "journal" n'est pas anodin, il livre l'humain sans concession ni embellissement. Un inestimable cadeau, à l'époque où tout se joue dans le paraître.
Une écriture minutieuse, soucieuse d'esthétisme et de sincérité ; l'enracinement du "style Colson" dans ce deuxième livre "Léna, une rencontre".
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Vous trouverez dans ce livre l'histoire d'un amour fou, absolu, qu'un homme découvre à l'heure du démon de midi. Claude COLSON la raconte de manière originale : un récit nous dit l'exaltation des débuts, puis des poèmes en vers libres chantent la passion partagée, enfin un journal rend compte du chaos de l'Après.
Une leçon de vie, un texte de sincérité, une plongée dans les abîmes de l'âme masculine.
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Un récit.
Une rencontre sur internet.
Une histoire d'amour. Une passion aux débuts fulgurants malgré les multiples obstacles.
Puis, chez elle, l'affadissement brutal. Inexpliqué, incompréhensible pour lui, voire pour elle.
Des caractères de feu. La volonté commune d'y croire encore qui les fait " repartir " 22 fois après 22 ruptures.
L'impossible, l'ambiguïté, le vouloir, l'irrémédiable : vous trouverez toutes ces étapes de la passion amoureuse dans ce court opus que Claude Colson nous livre en alternant, une fois encore - mais encore différemment - récit, poèmes en vers libres et journal intime.
La violence des sentiments, la force des mots.
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Nous sommes tous de pauvres cow-boys solitaires
Jean-claude Leclercq
- Chloe Des Lys
- 1 Octobre 2002
- 9782874590221
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C'est au cours d'une séance de méditation avec le groupe de malades Parkinsoniens qu'est né le désir d'écrire en utilisant la rythmique de la versification. Rentré chez moi, mon premier poème s'est déroulé sur le papier sans discontinuité ; l'illustration m'est venue plus tard. A partir de ce jour, des idées me sont venues régulièrement ; je n'éprouvais aucune peine à les exprimer dans ces textes que je rédigeais sous forme poétique pour leur donner rythme et musique. A la demande de ma neurologue, j'ai commencé à les partager dans les groupes de méditation dont je fais partie, soit, le groupe des personnes atteintes de la maladie de Parkinson ou de la sclérose en plaques. Dès lors, d'aucuns me dirent combien ils appréciaient mes textes et combien ils s'y retrouvaient. Les poèmes s'accumulant, je me rendis vite compte que ceux-ci ne faisaient que retracer mon parcours personnel, mon cheminement. J'avais trouvé le moyen d'exprimer mes souffrances et surtout, de les évacuer. Mon désir, aujourd'hui n'est autre que mon recueil aide les malades quels qu'ils soient à se prendre en main, à positiver, à réaliser que tout est en nous et à garder, malgré les souffrances, un esprit de gratitude.
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Gibert et autres récits de Bichel de ville
Jean claude Slyper
- Chloe Des Lys
- 30 Novembre 2013
- 9782874597718
Parfois, une conversation s'impose sans que l'on sache très bien pourquoi et comment. Ainsi, aujourd'hui, Bichel et ses collègues évoquent leur taille. C'est un drôle de sujet de conversation, passionnant, captivant, dont on peut bien se demander pourquoi nuls autres qu'eux s'y intéressent. Ç'a commencé à peine la porte de la crêperie franchie, pour quelque idiotie, Maurice, l'un des deux collègues, l'autre avançant le patronyme de Besace. Personne ne le croit, mais, dans l'impossibilité de lui en trouver un autre, tout le monde l'appelle ainsi, Besace ou La Besace, ça dépend de son état post-libations. En tout cas, c'est Maurice qui a attaqué le premier, à propos d'un problème de taille. Maurice a toujours des problèmes de taille insolubles : ainsi, la serveuse blonde à qui il fait les yeux doux depuis des semaines doit bien mesurer un mètre soixante-dix puisque lui-même mesure un mètre soixante-douze et la dépasse d'une petite mèche de cheveux. Sur quoi, La Besace - ce jour-là, il s'est rempli la panse - éclate d'un rire sarcastique : non mais qu'est-ce qu'y faut pas entendre, toi, un mètre soixante-douze, mais tu erres dans l'espace de tes illusions - il ne peut pas s'empêcher de faire des phrases idiotes, La Besace -, toi, un mètre soixante-douze, impossible mon cher ! Moi-même, qui te rends a few centimètres - de plus, il se targue de parler étranger, il appelle ça son polyglottisme naturel et instinctif -, je me hisse jusqu'à un mètre soixante-quatorze, il est donc parfaitement inimaginable que toi, un géant par rapport à moi, mesures un mètre soixante-douze ! Tu dois réviser ton jugement et penser plutôt à, au moins, un mètre soixante-seize !
Quoi ! Quoi ! Bichel n'en croit pas ses oreilles. Il court derrière ses deux compagnons : Quoi ! Quoi ! Et moi ? Hé, attendez ! Et moi, quoi ?
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EXTRAIT :
« Philippe pensa à Marisol Fécamp et la chercha du regard, persuadé qu'elle allait se manifester. Effectivement, celle-ci venait de se profiler dans son champ de vision et se frayait un passage à travers la foule. Sûre d'elle, elle se dirigeait rapidement vers le Britannique. Le sang de Philippe ne fit qu'un tour. Intuitivement, il sentait qu'elle allait l'agresser, verbalement ou physiquement, il n'en était pas sûr. À son tour, il tenta de s'approcher du Britannique et d'intercepter Marisol Fécamp. »
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