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Le colonel Alexandre Nebout ; un aviateur français
Jean-Claude Nebout
- Le Publieur
- L'ecritoire
- 2 Septembre 2005
- 9782754900270
BIOGRAPHIE-TEMOIGNAGE : Alexandre Nebout, 1898-1974, est élevé dans une France amputée de l'Alsace et de la Lorraine.Son père, capitaine d'infanterie, est tué le 1er novembre 1914. Deux ans plus tard, Alexandre Nebout s'engage comme combattant volontaire pour la durée de la guerre. Il participera aux deux conflits mondiaux. Soldat de métier, ce n'est pas pour autant un guerrier avide de combats et, s'il est apprécié sur le terrain, c'est aussi un officier d'état- major recherché, qui s'est doté d'une formation de juriste de haut niveau. L'aviation militaire représente la passion de sa vie. Alexandre Nebout n'a que 16 ans lorsque son père est tué, et il semble prédestiné à comprendre et soulager les souffrances des veuves et des orphelins. C'est pendant la guerre de 1939-1945 que se révèle sa véritable vocation sociale, dont vont profiter ses frères d'armes et leurs familles...les aviateurs en tête bien entendu.
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Claude Neuschwander brosse dans ce livre un tableau sans concession mais finalement optimiste de la situation économique, morale et politique de la France dans le contexte d'une Europe qu'il faut réinventer et d'un monde globalisé qu'il convient de réguler.
Pour lui deux dangers pèsent sur nous : la puissance envahissante de l'ultra libéralisme et le développement d'un totalitarisme qui camoufle son kaki d'origine sous un bleu marine, paraît-il, plus seyant. Il dénonce aussi les dérives d'un militantisme de gauche qui troque ses convictions traditionnelles contre un carriérisme.
Or les militants semblent démobilisés par la quasi-faillite idéologique et morale des partis de progrès. Il lui paraît donc essentiel de rendre la parole aux citoyens et des les associer à l'élaboration d'un projet politique réaliste et conforme à leurs convictions.
Il propose donc de bâtir un "réseau social" qui fédère les citoyens indignés et les mobilise pour préparer un avenir commun. Un réseau social d'un nouveau genre, à inventer par ceux là même qui décideront de le prendre en charge.
La Gauche retrouvera alors les valeurs qui la rendent éternelle. Elle saura les traduire dans un projet concret, ancré dans une volonté commune, celle des citoyens et des militants.
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La figure de ma tante, Madeleine Michelis, femme libre, engagée, Résistante qui a payé de sa vie son opposition au nazisme, a longtemps été laissée à l'état de fantôme.
Un premier livre, « Correspondance d'avant-guerre et de guerre de Madeleine Michelis » paru aux éditions du Félin en 2015, lui a rendu la parole.
Dans un second ouvrage, « Rues Madeleine Michelis », paru en 2020 aux éditions les Soleils Bleus, j'ai puisé dans mes souvenirs les pièces d'une sorte de puzzle mémoriel.
En reconstituant mon histoire familiale sur plusieurs générations, mêlant documents, rêve et réalité, « Au retour d'Etretat » me permet d'élargir le cadre de mes recherches et de préciser l'influence que ma tante a continué d'exercer bien après sa mort.
A-t-elle un rôle à jouer aujourd'hui ?
