L'usage politique de la pyrotechnie est le fil conducteur de cette étude. La valeur des divertissements aux XVIe-XVIIIe siècles résidait moins dans l'événement lui-même que dans sa représentation. Gravures, livres illustrés, peintures étaient disséminés dans toute l'Europe et affirmaient l'autorité et l'influence des ordonnateurs. Ce sont ces artefacts culturels qui sont ici étudiés.
Le peintre de la solitude éprouvée dans les grandes villes américaines révèle ici un autre visage : celui des paysages maritimes du Maine où Hopper passa ses étés de 1914 à 1929. Au-delà de sujets inattendus, on découvre aussi une facture plus dense et des couleurs plus vives que celles qui caractérisent ses oeuvres urbaines.