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Marc Villard
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Un classique incontournable qui exploite très habilement le thème de la fausse piste...
Que feriez-vous si vous soupçonniez votre grand frère chéri d'avoir commis un crime horrible ? Ricky est rongé par le doute... -
Dans cette suite des "Doigts rouges", on retrouve Ricky, qui a grandi et qui, cette fois, suspecte son voisin... Un mini polar qui manie le suspense et prend plaisir à jouer avec le lecteur...
Ricky, qui a maintenant dix ans, vit avec ses frère et soeur dans l'appartement de leurs parents. Plusieurs soirs de suite, à travers la cloison qui le sépare des voisins, il perçoit des menaces proférées par un homme. Ricky prend peur pour sa voisine, avec qui il essaie de rentrer en contact. Quand il apprend que l'homme est tueur aux abattoirs de la Villette, la paranoïa de Ricky enfle... -
Figures de proue de la Série Noire et du polar français, graphomanes talentueux, Jean-Bernard Pouy et Marc Villard ont entamé en 2005 un dialogue littéraire qui a donné naissance à plusieurs textes à quatre mains. Avec La mère noire, ils reforment leur duo pour la Série Noire et signent un roman riche des échanges et jeux de langage qui les caractérisent.
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Dix nouvelles noires aux atmosphères délicatement tendues et évocatrices, entre bas-fonds et poésie urbaine. « Villard, c'est un univers populo mais aussi un style. Sans gras. Ses phrases sont taillées au cordeau, sobres, épurées. » Alexandra Schwartzbrod (Libération)
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Il était une fois une guitare rectangulaire, de couleur bleu caraïbe, sur laquelle était inscrit : " bo diddley, blue hawaï nâ°1.
" lorsque arsène la subtilise en forçant la portière d'une audi au milieu d'une cité, il ne sait pas que cet instrument a une histoire. il l'apprendra d'un congolais, lui-même musicien. ce dernier l'emprunte pour pouvoir se produire dans un club, mais la fourgue au dealer farid el attrache en échange de faux papiers. le trafiquant ne la gardera pas longtemps en sa possession car il se la fait piquer par un chauffeur de taxi.
Quel que soit, son propriétaire, cette guitare ensorcelée porte clairement la poisse.
Plus personne n'ignore les rapports passionnés et savants que marc villard entretient avec la musique. ce roman noir et burlesque est son plus bel hommage au rock dont les rythmes n'ont cessé d'imprégner son écriture.
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De jeunes loups ambitieux qui s'affrontent, des employés de bureau terrorisés par un cégétiste enragé, des ivrognes et des drogués, un défilé de haute couture, l'atmosphère sinistre d'un festival du polar, des vacances dans les Alpilles...À travers toutes ces nouvelles, Marc Villard dresse un tableau sans complaisance de la vie d'aujourd'hui où, entre le burlesque du quotidien et le pathétique le plus discret, surgit un personnage qui nous parle en fin de compte de nous-mêmes.
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Seize nouvelles, ancrées dans la mythologie personnelle de Marc Villard, entre Barbès et les USA, écrites entre 1983 et 1987 et sélectionnées par l'auteur.
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"Marc Villard est une espèce de boxeur. Il écrit comme on se bat sur un ring, comme on se bat aussi dans un coin de rue et avec les moyens du bord, sans les règles..." avait écrit Pierre Pelot à propos d'Entrée du diable dans Barbèsville, le précédent recueil de nouvelles de Marc Villard. Ces six récits noirs et acérés s'inscrivent dans cette tradition qui a fait le succès de son auteur.
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Après Ping-pong et Tohu-bohu, Jean-Bernard Pouy et Marc Villard nous livrent un nouvel opus, sorti de leur atelier de littérature policière expérimentale. A chaque ouvrage, une contrainte. Le principe qui a présidé à l'écriture de celui-ci est simple. Marc Villard a dressé pour Pouy une liste de dix thèmes récurrents dans ses livres : le foot, Barbès, la vie de famille, les immigrés, les flics pourris, les tueurs à gages, le jazz, la drogue, les éducateurs, les Halles. De son côté, Jean-Bernard Pouy a proposé à Villard les dix thèmes suivants : le vélo, la Bretagne, le cinéma expérimental, les libertaires, les citations philosophiques, la vache, le rock 'n' roll, la peinture, le train, la patate. Après quoi, chacun a écrit une histoire sur les thèmes de l'autre soit vingt nouvelles dans lesquelles les deux complices rivalisent d'imagination et aussi de malice, chacun se coulant dans la thématique de l'autre, en adoptant aussi le style, le détournant, voire le pastichant ? Le lecteur familier des univers de Pouy et Villard s'amusera de voir que chacun, en explorant les thèmes de l'autre, enfourche plus ou moins consciemment ses propres dadas ; ainsi de Marc Villard qui traite des libertaires en s'offrant le plaisir d'un clin d'oeil au Poulpe créé par Pouy, tout en mettant en scène de jeunes dealers à Barbès dans une nouvelle où il est aussi question de musique, tous sujets éminemment villardiens !
Il ne faudrait pas pour autant croire que Zig-zag n'est qu'un jeu littéraire réservé aux aficionados. La variété des histoires, leur humour décapant, leur fantaisie, leur punch, en un mot le style et la maîtrise de deux grands noms du polar français font de ce recueil un cocktail de pur plaisir à déguster sans modération.
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«Dur sur l'homme, sobre au sol, royal dans les airs», tel était Robert Jonquet, demi-centre de la grande équipe de Reims.Telle est aussi l'écriture de Marc Villard, poète, nouvelliste et romancier qui aborde ici un genre rare et périlleux : la nouvelle à caractère autobiographique, à travers une succession de clichés pris sur le vif - le vif du sujet bien entendu. Il en naît un personnage, l'auteur, un peu à la manière dont Woody Allen se met en scène. Car ces nouvelles sont souvent drôles, voire burlesques - l'homme n'est pas de ceux qui ménagent leur personnage -, parfois discrètement pathétiques.Avec cette vivacité, cette acidité qui caractérisent celui dont on a dit qu'il manie la plus belle plume du roman noir français.
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Théo est un jeune parisien, la vingtaine. Poète, évidemment. Une vocation qui ne rapporte guère, mais l'ambition tempère son idéalisme romantique. Pour gagner sa vie, il repeint donc les toilettes publiques de la capitale. Marine Le Pen devenue Présidente, la clé de répartition sociale a changé. Ce jour-là pourtant, la chance sourit peut-être au jeune homme. Il pourrait vendre un de ses poèmes au Ministère de la Culture.
Marc Villard n'est pas un habitué de l'anticipation sociale. Mais on retrouve, dans cette uchronie plus plausible que jamais, son ironie mordante, sa tendre dérision, et l'impitoyable lucidité qu'il promène sur les dérives sociales politiques de la France contemporaine.
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Quand son équipier est abattu sous ses yeux, david nolane - le meilleur flic de barbès - déprime un maximum et se met à picoler.
Puis sa fille rentre à la maison, avec ses drums, sa came, et oriente david dans le sens de l'histoire. rongé par l'esprit de vengeance, il part en chasse avec big brother en ligne de mire. mais le brother est protégé, très protégé, et commence à faire le vide dans son périmètre pour pouvoir respirer à l'aise. flics pourris, junkies repentis et dealers déjantés charrient, dans cette quête de justice, un flot de détresse.
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«Edith Starsky, c'est la fille avec le couteau dans le ventre. Dany, l'assassin présumé, s'est évanoui dans la nature et moi, je rêve d'un retour vers le futur. Pour y parvenir, je dois passer par Hambourg, les Beatles et quelques cadavres. Avec, comme récompense, une génuflexion dans la Chapelle Sixties.»
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Éducateur de rue n'est pas un job de tout repos. Surtout à Barbès. Parmi les ados dont il est responsable, Tramson a la charge d'un jeune homosexuel qu'on assassine sous ses yeux. Il oublie rapidement ses bonnes manières pour retrouver l'assassin et rendra coup pour coup dans l'espoir de faire triompher sa justice. Une enquête dans un quartier parisien cosmopolite, secret et brutal. Un lieu aux néons rutilants mais aussi aux lumières étouffées des caves où les hommes souffrent et luttent pour survivre.
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Cool, man, c'est mon histoire. Puis ça revient comme une lame de fond : les nuits sur les Zildjian, la caisse claire de Tony Williams, les boeufs avec l'Art Ensemble. Long way from home. Trois coupures dans ma poche. Ma tronche dans "Downbeat". Je pleure pas, non je pleure pas. Pilé en deux, je lâche le Lavazza ; ulcère de merde. Je ferme les yeux. Mille piqûres et les cuisses au sulfure de Betty, sa bouche d'orage.
Photographies de Stéphanie Léonard.
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Naples, Barbès ou Barcelone, c'est toujours la même folie qui agite les hommes. Bons pour l'asile, pas pour la taule. Le rap ravage la banlieue, la mafia gangrène l'Italie et la France n'a jamais été une terre d'asile. Huit nouvelles traversées par la violence et la mort.