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Cohen Et Cohen
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Le roman se déroule pendant les dernières années de la vie de Jackson Pollock, qui trouvera la mort dans un accident de voiture en 1956.
1951. Pollock se saôule, joue, perd et règle sa dette en donnant deux toiles de grand format.
Juin 1956. Un jeune couple de bras cassés, accompagné d'un compère, braque une banque et dérobe les deux toiles de Pollock. Manque de chance, la banque appartient à la mafia. Recherchés également par la police, les deux jeunes gens revendent une première toile à un fourgue et rendent la seconde à un Pollock qui ne dessaôule plus. Il mourra quelques jours plus tard et l'histoire se terminera très mal pour les deux amants.
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Dans ce roman noir (quel événement !!!), Marc Villard convoque Jean-Michel Basquiat à New York en 1983. Il lui reste alors 5 ans à vivre. Il affole déjà le marché de l'art. Une cour protéiforme l'entoure : son amie, sa galeriste, un ancien camarade de classe faussaire.
Entre ces différents protagonistes, commence un jeu de cache-cache, rythmé par le rock New Pop, la drogue omniprésente et l'envie d'exister aux yeux du monde, ne serait-ce qu'un quart d'heure, comme le suggère Andy Warhol.
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Mercredi 2 juillet 1969 : Brian Jones est découvert noyé dans la piscine de Cotchford Farm, son manoir du Sussex (Angleterre).
Samedi 9 août 1969 : Sharon Tate est assassinée à Los Angeles par des membres de la Famille, organisation criminelle dirigée par Charles Manson.
Vendredi 5 décembre 1969 : pendant le concert des Rolling Stones au festival d'Altamont, près de San Francisco, un jeune spectateur Noir est poignardé par un membres des Hell's Angels.
Prenant comme points de repère ces faits divers, Marc Villard a écrit un formidable roman où l'on entend sonner le glas des espérances du peuple hippie.
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Voici le nouveau recueil de textes courts de Marc Villard, que l'on ne présente plus. Ces onze nouvelles tournent autour de l'art. Le texte qui donne son nom à l'ouvrage « L'Homme aux doigts d'or » est dédié à Edward Hopper, personnage principal de deux autre récits.
Nous croiserons au fil des lignes, Thelonius Monk, Robert Motherwell et d'autres artistes, peintres, photographes, musiciens.
Dans la lignée de ses opus précédents, Marc Villard développe une écriture sèche, précise d'une ironie parfois mordante?
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En France et en Belgique, des hommes et des femmes marqués par le rock survivent tels des rescapés, toujours unis par une attitude de rébellion, comportement inhérent à cette musique. L'auteur fait se confronter ces ex-fans des sixties à la violence du polar dans dix nouvelles noires, tendues, percutantes.
Ces histoires courtes peuvent aussi être lues comme des singles de 2 minutes balancés par des guitares rageuses.
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Dans les rues de l'Amérique, le jazz souffle la vie. La mort aussi, camouflée sur une terre sans pardon. Des polaroids surgissent : Miles Davis plante sa Lamborghini à New York, une gamine de race blanche traverse les émeutes de South Central, Billie Holyday s'éteint à Harlem, cernée par les rapaces, Monk pianote dans sa tête au cours d'un cambriolage, Chet Baker cède une trompette au fils d'un garagiste italien, Rosa Parks ne sait pas qu'un futur grand du jazz est assis dans son bus et Pepper fout la merde dès son retour à Los Angeles.
Les 16 nouvelles rassemblées dans ce volume dressent le décor fictionnel d'une musique qui troue la tête à bon nombre de fidèles dans le monde. Ce regard porté sur l'univers du jazz reste noir mais l'empathie affleure. Et ce regard nous dit que les musiciens auront toujours raison.