Janvier 1969. Lorsque les Beatles se réunissent pour enregistrer leur nouvel album, Get Back, ils sont dans une période de transition et de doute : George Harrison rentre de New York où il a travaillé main dans la main avec Bob Dylan, Paul McCartney est dans son histoire d'amour naissante avec Linda Eastman, John Lennon est inséparable de Yoko Ono, sa partenaire à la ville comme à la scène. L'enregistrement de « L'Album blanc », en 1968, a divisé le groupe, et la disparition de leur mentor à tous, « M. Epstein », a laissé un grand vide. Pourtant, c'est dans cette atmosphère étrange, tandis qu'ils repartent à la source de leur art, que les Beatles vont composer quelques-unes des leurs plus belles chansons, cultes dès leur sortie. Pendant un mois, Michael Lindsay-Hogg enregistre les sessions studio des Beatles, de Twickenham à Savile Row, en vue d'une émission spéciale en mondovision et d'un live, qui sera le mythique concert sur le toit, au sommet de l'immeuble d'Apple Corps. Le montage qui a été fait de ses prises de vues dans le documentaire Let it be, sorti après la scission du groupe en avril 1970, mettait volontairement l'accent sur l'aspect dépressif, chaotique, du processus créatif. Or, c'est justement ce que ce livre et le documentaire qui l'accompagne vient nuancer, sinon de contredire, comme l'écrit Peter Jackson dans sa préface : « La véritable essence des séances de Get Back est contenue dans ces pages : il suffit de compter le nombre de fois où la mention «rires» est indiquée entre parenthèses. » Hanif Kureishi, renchérit : « Le résultat de toutes ces blagues, de ce travail incessant et de ces disputes, c'est un final fabuleux. La séance live sur le toit de l'immeuble qui se déroule à la fin du mois de janvier 1969, et en février de la même année, les Beatles qui se mettent allègrement à travailler à ce chef-d'oeuvre qui se révélera être Abbey Road. » Grâce à ces archives enfin restaurées et révélées au grand public, tous les fans des Fab Four ont le privilège d'entrer en studio pour assister aux premiers brouillons, aux erreurs, à la dérive de chacun et aux digressions de tous, à l'ennui, à l'excitation, au brouillage joyeux et aux percées soudaines... D'assister au crépuscule superbe de leurs idoles.
In this original, sensuous volume, top international photographer Russell James profiles supermodel Candice Swanepoel in one of the world's most exceptional private homes. These fine-art nudes whisk us into a fantasy world of female allure--all against a backdrop of stunning interiors. In this intimate setting--far from the media whirlwind--the doe-eyed, curvaceous farmgirl from South Africa reveals the depths of her vivid magnetism. Through this provocative photoshoot, James captures the many moods of a contemporary icon. Perhaps destined to become an all-time classic of erotic celebrity photography, this sultry title is a tantalizing tribute to one of the most beautiful women of our age.
Les anges de Victoria Secret sont devenus une représentation iconique de la beauté et de la sensualité féminines dans la culture populaire. Russel James a été le photographe privilégié durant 15 années à photographier les fascinantes et adorables femmes qui ont défilé pour Victoria's Secret. La liste de ces femmes est certainement impressionnante puisqu'elle inclut les noms de celles qui ont été et sont encore dans le top : Gisele Bündchen, Adriana Lima et Alessandra Ambrosio pour n'en nommer que quelques unes. Ce volume présente ces représentations de la femme qui semble descendue tout droit du paradis. Subtilement provocants, séduisants, ces portraits capturent l'essence même de chaque modèle, son attrait physique ainsi que sa personnalité. La gamme des images reflète l'espièglerie et l'aventure ; les compositions novatrices et le perfection technique de la photographie ajoutent encore à l'effet captivant. Les lecteurs ont tout simplement l'impression de fouler leur propre paradis.