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Sôseki Natsume
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Si Sôseki le romancier est de longue date traduit et commenté chez nous, une part plus secrète et à la fois plus familière de son oeuvre nous est encore inconnue, Sôseki a écrit plus de 2500 haikus, de sa jeunesse aux dernières années de sa vie : moments de grâce, libérés de l'étouffante pression de la vie réelle, où l'esprit fait halte au seuil d'un poème, dans une intense plénitude.
« Affranchis de la question de leur qualité littéraire, ils ont à mes yeux une valeur inestimable, puisqu'ils sont pour moi le souvenir de la paix dans coeur... Simplement, je serais heureux si les sentiments qui m'habitaient alors et me faisaient vivre résonnaient, avec le moins de décalage possible, dans le coeur du lecteur. » Ce livre propose un choix de 135 haïkus, illustrés de peintures et calligraphies de l'auteur, précédés d'une préface par l'éditeur de ses OEuvres complètes au Japon.
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« En classe, ce qui devrait carre´ment e^tre enseigne´, c'est l'art de pour ne pas croire les autres et la me´thode pour gruger autrui, pour l'inte´re^t de chacun et celui du monde. C'est de ma candeur qu'on avait ri. Dans un monde ou` la candeur et la franchise font rire, il n'y a plus d'espoir ».
Affecté dans un collège de province, un jeune professeur originaire de Tôkyô se heurte aux tracasseries de ses élèves et aux manoeuvres de ses collègues. Drôle, satirique et malicieusement contemporain, Petit Maître est un conte initiatique incontournable, considéré comme un classique des lettres japonaises.
Natsumé Sôseki (1867-1916) est encore aujourd'hui l'un des écrivains les plus étudiés au Japon. Il est notamment l'auteur de Je suis un chat, succès critique et public, et d'Oreiller d'herbes, l'un des romans fondateurs de la littérature moderne.
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Vingt ans après le pauvre coeur des hommes, l'un des derniers romans de natsume sôseki, paraît enfin, dans une excellente version due au japonologue jean cholley, l'ouvrage qui d'emblée lui valut la célébrité : je suis un chat.
Mort en 1916 à quarante-neuf ans, il vécut aux confins de la psychose la déchirure dont pâtirent tous les intellectuels nés avec la révolution industrielle, politique et culturelle du meiji.
Formé aux lettres classiques chinoises, au haïku, mais envoyé en angleterre de 1900 à 1903 pour pouvoir enseigner ensuite la littérature anglaise, il s'imprégna si profondément du ton de swift, de sterne et de de foe que, sans nuire à tout ce qu'il y a de japonais dans je suis un chat, cette influence nous impose de penser au voyage de gulliver chez les houyhnhnms ; sans doute aussi d'évoquer le chat murr d'hoffmann.
C'est pourquoi le traducteur peut conclure sa préface en affirmant que je suis un chat " suffit amplement à démentir l'opinion si répandue selon laquelle les japonais manquent d'humour ". ni hegel, ni marx, ni darwin, qu'il a lus, ne lui ont fait avaler son parapluie.
La gouaille, voire la désinvolture apparente, n'empêchent pas les chapitres de s'organiser, cependant que tous les styles (jargon des savants ou du zen, ou argot d'edo, ancien nom de tokyo) se mêlent pour présenter la satire désopilante d'une société en transition, et même en danger de perdition.
Kushami-sôseki se demande parfois s'il n'est pas fou, mais c'est la société d'alors qui devient folle, elle qui déjà enferme en asile ceux qui la jugent. le chat ne s'y trompe jamais, lui : aucun ridicule n'échappe à ce nyctalope. alors que peut-être on en devrait pleurer, on rit follement. si vous voulez comprendre le japon, identifiez-vous au chat de soseki. sur un autre registre, vous retrouverez le meiji de la sumida, le chef-d'oeuvre de nagaï kafû.
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Un peintre tokyoïte décide de s'isoler dans une station thermale désertée en quête de tranquillité. Contraint par la pluie de trouver refuge dans une maison de thé, il fait la connaissance de la propriétaire des lieux. Cette femme d'un certain âge aime parler. C'est ainsi que le peintre découvre l'histoire de Nami, qui vit dans la pension où il compte séjourner. Mariée de force, elle a fini par quitter son époux pour retourner auprès de son père, dans la petite auberge familiale. La légende raconte qu'elle a perdu la tête. C'est le début d'une quête sans fin pour le peintre. Lorsqu'il rencontre enfin Nami, il n'a plus qu'une seule idée : rendre hommage à sa beauté à travers son art.
La délicate musique de Sôseki sonde les mystères de l'âme humaine dans ce texte plein de grâce.
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Première réédition de Natsume Soseki, considéré comme l'un des écrivains les plus importants de la littérature japonaise contemporaine, aux éditions Cambourakis. Dans ce roman d'initiation contemporain des écrits de Kafka et saisissant de modernité, un étrange jeune homme dépourvu d'identité, tiraillé entre la culture traditionnelle et une soif de modernité, décide de fuir Tokyo. Interpellé en chemin, il se retrouve enrôlé pour travailler dans une mine. Une activité épuisante qui va déclencher une série de réflexions introspectives et fondatrices pour lui, reflétant les interrogations philosophiques et littéraires du début du XXe siècle avec alacrité et humour.
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Le voyageur
Sôseki Natsume
- Rivages
- Rivages Poche : Bibliotheque Etrangere
- 27 Septembre 2017
- 9782743640743
Un grand roman d'une légende de la littérature, un classique du catalogue de Rivages. Jirô, jeune employé sans histoire, doit rejoindre à Osaka un de ses amis pour une promenade dans la campagne japonaise. Il en profite pour rendre visite à un parent de sa mère et se voit contraint de s'intéresser à des problèmes familiaux dont il espérait se détacher. Son ami n'est pas au rendez-vous : hospitalisé d'urgence, il doit annuler ses vacances. Ce contretemps révèle alors à Jirô les multiples drames qui sont habituellement cachés par la réalité quotidienne et les conventions. Avec une finesse psychologique hors du commun, Soseki sonde l'âme humaine et ses errances.
Traduit du japonais par René de Ceccatty et Ryôji Nakamura.
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En 1914, le romancier, Sôseki (1867-1916), alors très célèbre, est invité à donner une conférence à l'Ecole des Pairs, où il a failli enseigner dans sa jeunesse. Avec humour et profondeur, il explique aux étudiants sa conception de l'individualisme. Partant de son expérience personnelle d'étudiant et de jeune enseignant, il raconte son cheminement, rappelant certains de ses livres. Peu à peu, il parvient à un véritable petit traité de morale, qui définit l'autonomie, la tolérance, les limites de l'individualisme en collectivité et la nécessité de recourir à une éducation intériorisée et non pas seulement conformiste. Nous avons joint quelques lettres que Sôseki écrivit à ses amis intellectuels, concernant la création littéraire et la formation de la pensée. Nouvelle édition.
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Le pauvre coeur des hommes
Sôseki Natsume
- Gallimard
- Connaissance De L'orient
- 12 Mars 1987
- 9782070709243
Quelle vie plus calme en apparence, plus unie, plus heureuse que celle de Natsume Sôseki ? Il naît en 1867 à Edo, l'ancienne Tokyo, étudie l'anglais, enseigne dans les écoles secondaires de 1893 à 1900 et passe en Angleterre trois années à l'issue desquelles on le nomme chargé de cours à l'Université impériale de Tokyo. Son premier roman, Je suis un chat, d'emblée le rend célèbre et lui permet d'entrer au grand quotidien Asahi. Après une existence discrète et retirée, il meurt en 1916.De tous les écrivains qu'a produits l'ère du Meiji, nul n'excerça une influence aussi prestigieuse. C'est que cet ami de l'Occident ne s'était pas coupé de sa propre culture : il s'était nourri des lettres chinoises et formé à la méditation qu'enseigne le bouddhisme zen. Sa vie tout unie cachait une âme douloureuse : obsédé par l'inéluctable «péché qui est sur l'homme», ce solitaire analyse et absout le coeur humain, mais non sans avoir pris sur soi, comme pour l'expier, ce qu'il tient pour l'irrémédiable misère de la condition humaine.Kokoro ou Le pauvre coeur des hommes est le plus représentatif sans doute des romans du Meiji. Du moins fut-il désigné comme tel par le Pen Club japonais. Horiguchi Daigaku et Georges Bonneau l'ont traduit en français. Horiguchi Daigaku, l'un des maîtres du lyrisme japonais, est le traducteur en sa langue d'une centaine d'oeuvres françaises ; Georges Bonneau est l'un de nos plus savants japonisants, celui qui, dans la collection Yoshino, nous révéla tant de poètes japonais.
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Botchan, le petit maître créé en 1906 par Sôseki, est aussi célèbre dans la littérature japonaise que Cosette pour nous, ou Tom Sawyer pour les Américains. Ce jeune professeur frais émoulu de Tôkyô, en butte, dans un collège de province, aux tracasseries de ses élèves et aux manoeuvres de ses collègues, est le personnage central d'une savoureuse galerie de portraits, d'un conte moral plein de vigueur, où se mêlent le grotesque caustique et une étonnante âpreté de ton.
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Après la réédition du «Mineur», nouvelle réédition du grand Natsume Sôseki. Dans ce recueil de deux nouvelles, on retrouve la fascination de l'auteur pour le présent, relayée par des réflexions percutantes, désabusées et souvent mordantes, ainsi que par son aisance à rendre compte de l'ambigu?ité de la psyché humaine. Ces deux textes saisissants de modernité se font le miroir des interrogations politiques et littéraires du Japon du début du XXe siècle, un pays en transition.
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Tsuda doit subir une opération bénigne, ce qui l'oblige à être éloigné quelques jours de sa femme, Nobuko. De cet événement anodin découle un véritable drame. Mais comme toujours chez Sôseki, la tragédie commence dans le silence : un geste ou un regard, le froissement d'une étoffe. Puis l'orage gronde, transformant les cieux qu'on croyait cléments. L'amour n'est plus alors, entre Tsuda et Nobuko, qu'un souvenir douloureux. Chronique d'un naufrage conjugal, Clair-obscur est le dernier roman de Sôseki.
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Sôsuke sait que la vie ne lui accordera guère plus que ce qu elle lui a déjà accordé. Il sait que rien ne viendra rompre la monotonie de son existence, soulager son ennui ou apaiser ses remords. Mais comme la plupart des hommes il ressent parfois qu un destin ne peut se résumer à cela. N y a-t-il pas un moyen, ne serait-ce qu un seul, de s élever au-dessus des problèmes sans solutions dans lesquels la vie nous tient enfermés ? Est-il concevable qu à notre prison il n y ait pas de porte ?
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Nous sommes dans le Japon du début du siècle, un Japon ouvert depuis deux ou trois décennies à peine aux influences occidentales et que sa victoire dans la guerre qui l'a opposé à l'Empire russe a hissé, à la surprise générale, au rang des grandes puissances. Un jeune provincial «monte» à la capitale pour y poursuivre ses études supérieures. Il a tout à découvrir : la ville, l'Université, l'amitié, l'amour... mais il est encore tellement marqué par le système de valeurs traditionnel qui règne dans le Japon profond d'où il est issu !
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Daisuké, riche et indolent, fils de bonne famille, a déjà atteint la trentaine et persiste à demeurer célibataire, à n'exercer aucun métier ; son univers est intérieur, fait de rêve, d'esthétisme, de pensée pure. Jusqu'au jour où l'amour le frappe au coeur : il découvre qu'il aime Michiyo, l'épouse de son meilleur ami. Le choc vital qu'il ressent le force à agir, à prendre en main son destin, au prix peut-être de la mort ou de la folie.
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Connu surtout comme prosateur pour ses romans et ses textes divers, Natsume Sôseki a excellé toute sa vie dans le genre du « poème en chinois classique », kanshi, qui est généralement un quatrain ou un huitain, formé le plus souvent de vers penta- ou heptasyllabiques rimés, dont l'enchaînement obéit à une certaine logique, possédant un charme que renforcent les qualités musicales, mais aussi les procédés d'ellipse et de juxtaposition. Aussi sincères soient-ils, les romans et essais de Sôseki n'atteignent pas à la profondeur que recèle le recueil de ses poèmes en chinois resté jusqu'à ce jour inédit en français. À la différence du romancier et de l'essayiste, le poète Sôseki n'écrit que pour lui-même. Il n'a personne à flatter, même dans les quelques poèmes de circonstance adressés à des amis ou connaissances, et n'hésite pas, surtout dans le dernier tiers du recueil, à traiter abruptement, par à-coups, de sujets ardus, relatifs à une quête « philosophique » où il avance en sachant qu'il n'atteindra rien, celle que propose la pensée extrême-orientale, fondée sur le taoïsme de Laozi et sur le bouddhisme chan (zen en japonais) qui en est imprégné.
Les 207 poèmes du recueil sont présentés, comme dans les éditions japonaises, selon le classement chronologique : à mesure que nous avançons dans la lecture, Sôseki avance en âge et nous émeut progressivement par la patiente description de ce que son esprit perçoit soudain ou peu à peu, tantôt inquiet, aux prises avec la méditation et la maladie, tantôt rasséréné par le vert des bambous ou le jaune du colza, par la contemplation des paysages ou des « blancs nuages ».
Comme l'écrit son traducteur, Alain-Louis Colas, auquel on doit entre autres la traduction de La Rosée du lotus de Ryokan et Teishin, dans la collection « Connaissance de l'Orient » chez Gallimard : « En ces temps où règnent les excès et les abus de toutes sortes, à base de frelatage et d'outrecuidance, on appréciera notamment ce qui constitue la maxime sous-jacente à tous ces poèmes, à savoir Sokuten-kyoshi : «Suivre la Nature et quitter le moi». »
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Une étrange mission marque pour Keitarô l'entrée dans le monde des adultes, du travail, des femmes, là où sont divulgués les secrets de l'existence, là où se rejoignent la fin et l'origine.Au-delà de l'équinoxe, au-delà de l'éducation sentimentale d'un jeune homme naïf et curieux, l'auteur de Botchan et du Mineur pousse l'investigation de l'âme et des passions qui meuvent les êtres jusqu'à l'expérience ultime de l'amour et de la mort.
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Portrait et haïkus de Soseki (1867-1916), célèbre romancier, poète et peintre accompli, très influencé par le zen.
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Nous sommes dans le japon du début du siècle, un japon ouvert depuis deux ou trois décennies à peine aux influences occidentales et que sa victoire dans la guerre qui l'a opposé à l'empire russe a hissé, à la surprise générale, au rang des grandes puissances.
Un jeune provincial " monte " à la capitale pour y poursuivre ses études supérieures. il a tout à découvrir : la ville, l'université, l'amitié, l'amour. mais il est encore tellement marqué par le système de valeur traditionnel qui règne dans le japon profond d'oú il est issu.
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Kokoro, meaning 'heart', is a tantalising novel about the friendship between a young man and an enigmatic elder whom he calls Sensei. Set in the early twentieth century, when the death of the emperor Meiji gave way to a new era in Japanese politicial and cultural life, the novel enacts the transition from one generation to the next in the dynamic between Sensei, who is haunted by mysterious events in his past, and the unnamed young man, one of the new generation's elite who will inherit the coming era.
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"La société civilisée est un champ de bataille où l'on ne voit pas le sang couler. Vous devez vous préparer à faire face. Vous devez vous préparer à tomber. Ceux qui restent debout dans la rue de la vie avec pour seul but la réussite sont tous des escrocs." Rafales d'automne occupe une place à part dans l'oeuvre de Sôseki, par la portée subversive de son propos, l'audace de son jugement moral sur son époque, qui est aussi un jugement politique.
Deux jeunes gens, amis très proches depuis leurs études à l'université, font leurs premiers pas dans le monde. L'un est un esthète à la vie brillante d'un fils de famille prospère. L'autre est un aspirant romancier à la santé fragile, qui tire le diable par la queue. Leurs chemins vont croiser celui d'un professeur rebelle et excentrique, chassé pour insoumission à l'autorité de tous ses postes en province et décidé à faire entendre sa voix à Tôkyô. Et le vent qui se lève, ces rafales coupantes de l'équinoxe d'automne, sera celui de la révolte du savant, de l'homme de bien, face à la nouvelle société soumise aux puissances de l'argent qui s'installe en ce début de vingtième siècle au Japon. Une révolte que Sôseki défend avec cette passion teintée d'ironie qui le caractérise.
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Conférences sur le Japon de l'ère Meiji (1970-1914)
Sôseki Natsume
- Hermann
- 23 Janvier 2013
- 9782705683566
Écrivain-phare du Japon de Meiji, Natsume Sôseki prononça, entre 1907 et 1914, six « grandes » conférences où l'essentiel de sa vision philosophique et de sa compréhension du Japon en pleine métamorphose, empruntant à l'Occident le meilleur et le pire en matière de révolution du mode de vie et de nationalisme expansionniste, se trouvent brillamment et caustiquement exprimées. Les conférences s'intitulent : « Les fondements philosophiques des Belles Lettres » ; « Divertissement et métier » ; « La civilisation moderne japonaise » ; « Matière et forme » ; « Belles lettres et éthique » ; « Ma conception de l'individualisme ». Elles sont traduites, annotées et commentées par Olivier Jamet, diplômé de l'INALCO, professeur à l'Université de Tenri (Nara, Japon).
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Botchan (en japonais avec furigana)
Sôseki Natsume
- Kodansha International
- 31 Octobre 2007
- 9784061487895
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