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Marie-Antoinette : Une biographie historique de Stefan Zweig
Stefan Zweig
- Shs Editions
- 27 Février 2023
- 9791041932740
Qui était Marie-Antoinette, faite, l'année de ses quinze ans et par raison d'État, reine de France ? Une débauchée futile piégée dans l'affaire du collier ? La pire ennemie de la Révolution ? Une sainte pour la Restauration ? Une très belle biographie pour tous ceux qui s'intéressent à la «dernière Reine de France». Zweig s'est penché sur Marie-Antoinette en psychologue. Il ne la divinise pas. Il analyse la chimie d'une âme bouleversée par les événements, qui, sous le poids du malheur et de l'Histoire, se révèle à elle-même et se rachète, passant de l'ombre de la jouissance à la lumière de la souffrance... Un voyage dans l'histoire de France.
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La santé, pour l'homme, est une chose naturelle, la maladie une chose antinaturelle. Le corps en jouit aussi naturellement que le poumon jouit de l'air et l'oeil de la lumière. La santé vit et croît silencieusement en l'homme en même temps que le sentiment général de la vie. La maladie, au contraire, s'introduit subitement en lui comme une étrangère, se rue à l'improviste sur l'âme effrayée et agite en elle une foule de questions. Car puisque cet ennemi inquiétant vient du dehors, qui l'a envoyé ? Se main- tiendra-t-il, se retirera-t-il ? Peut-on le conjurer, l'implorer ou le maîtriser ? Les griffes aiguës de la maladie suscitent au coeur de l'homme les sentiments les plus opposés : crainte, confiance, espérance, résignation, malédiction, humilité et désespoir. La maladie pousse le malade à questionner, à penser et à prier, à lever dans le vide son regard épouvanté et à inventer un être vers qui il puisse se tourner dans son angoisse. C'est la souffrance tout d'abord qui a créé chez l'homme le sentiment de la religion, l'idée de Dieu.
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Der Kampf mit dem Dämon : Holderlin - Kleist - Nietzsche
Stefan Zweig
- Shs Editions
- 11 Mai 2023
- 9791041928750
In dem vorliegenden Werke sind wie in der vorangegangenen Trilogie » Drei Meister « abermals drei Dichterbildnisse im Sinn einer inneren Ge-meinschaft vereinigt; aber diese innere Einheit soll nicht mehr sein als eine Begegnung im Gleichnis. Ich suche keine Formeln des Geistigen, sondern ich gestalte Formen des Geistes. Und wenn ich in meinen Büchern immer mehrere solcher Bilder bewußt zusammenrücke, so ge- schieht dies einzig in der Art eines Malers, der seinen Werken gerne den richtigen Raum sucht, wo Licht und Gegenlicht wirkend gegeneinander- stromen und durch Pendants die erst verborgene, nun aber offenbare Analogiedes Typusin Er scheinung tritt.V ergleich scheintmirim merein forderndes, ja ein gestaltendes Element, und ich liebe ihn als Methode, weil er ohne Gewaltsamkeit angewendet werden kann. Er bereichert in gleichem Maße, als die Formel verarmt, er erhoht alle Werte, indem er Erhellungen durch unerwartete Reflexe schafft und eine Tiefe des Raums wie einen Rahmen um das abgeloste Bildnis stellt.