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Vincent Blénet
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Vincent BLÉNET est un metteur en scène. Metteur en scène de sa propre vie et aussi de ses fictions fantasmatiques inspirées par la musique de Marilyn Manson, par son admiration pour Dita Von Teese et par son désir d'un monde plus vrai, plus beau, plus authentique.
De livre en livre, nous retrouvons ses personnages de prédilection qu'il fait évoluer jusqu'à nous donner l'illusion que nous faisons partie de leur entourage.
Dans cet ouvrage, Archimandrite ténébreux, le lecteur est transporté du Sud de la France aux États-Unis ou au Vatican, avec des incursions dans un couvent dominicain où la peinture magnifie la croyance des fidèles, un cimetière empreint d'ésotérisme en quête de vérité, une oeuvre caritative « Le Fourneau Économique », où une religieuse se bat pour que les gens ne désespèrent pas et continuent à vivre. C'est précisément ce personnage de soeur Rachel qui fait écho à celui de Vincent Blénet : ils veulent tous deux sauver l'humanité malgré la dureté de la société pour ceux qui sont « différents ».
L'auteur fait habilement se superposer la fiction et le cinéma, Leonardo DiCaprio devient un interlocuteur de choix pour incarner l'un de ses personnages destiné à nous emmener vers une certaine Rédemption...
Un mélange réussi de rêves, de doutes et d'espoirs. Une recherche en perpétuelle évolution. -
Vincent Blénet est passionné par l'écriture et le cinéma dont il s'inspire pour amener le lecteur à approcher son imaginaire.
Après son troisième ouvrage Chroniques des ténèbres, qui a rencontré un certain succès, Vincent Blénet nous fait partager avec authenticité son univers dans ce quatrième roman. Cette autobiographie mi-réelle mi-rêvée reflète parfaitement la personnalité de l'auteur.
Son inspiration prend racine dans sa souffrance qu'il arrive à sublimer dans son oeuvre, dressant au public un portrait mystique de lui-même et de sa vie intérieure. Il nous fait part de son aventure spirituelle, entouré par des personnages hauts en couleurs comme le célèbre Marilyn Manson, la troublante Dita Von Teese ou encore son ami Jean-Marie, le dominicain.
L'auteur emporte le lecteur dans sa quête d'identité, dans un monde oscillant entre gothique, cinéma, écriture et célébrités.
Carnets d'une décennie revient sur les années difficiles de son adolescence et sur des expériences qui l'ont profondément blessé.
À travers les thèmes récurrents de sa problématique : la foi, la dramaturgie, les anges maudits, Vincent Blénet nous entraîne dans le tourbillon métaphysique de ses obsessions, de ses doutes ou de ses certitudes. Il expose aussi son difficile combat à l'occasion d'un internement en milieu psychiatrique, et sa volonté de survivre dans cet univers qu'il ressent comme hostile. -
"Helene, death metal grandmother, inflamed Heaven for eternity with her undying faith". Vincent Blenet aka "Archimandrite Tenebreux" has just lost his grandmother, Helene, for whom he felt a lot of respect and admiration. He remembers her having a lunch with Dita von Teese and Ozzy Osbourne or going to concerts in the company of Marilyn Manson and Johnny Depp. This book is dedicated to her.
"If they think an artist can destroy their faith, then their faith is rather fragile" replies the singer Marilyn Manson to those who criticise his music. Marilyn Manson, just like the author, likes to question the society about what it believes and make it face its paradoxes.
We realize through this book that all Marilyn Manson's provocations are only made in order to defy the society and to make himself yet more hated by people who already hate him. The makeup and various bravados displayed by the singer, in fact, are just a mask, and behind it we find a respectable man, attentive towards his neighbour.
"Faith" is a pamphlet against all those who endlessly stigmatize and attack people who are different, making them feel guilty about exactly what makes them so different.
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Il était une fois, au début de l'année 2020, un homme pas tout à fait ordinaire propulsé dans un monde où l'irrationnel et le scientifique ont à cohabiter : la pandémie de la Covid-19.
Un cri de révolte de la part de l'auteur qui nous livre ici ses réflexions sur un enfermement, une situation qui lui est bien plus que familière puisqu'il l'a longtemps vécue, avant cette période où «l'excès de confinements nous rend hargneux et cinglés».
Mort sûre d'amours, est un ouvrage intime, pourtant étonnamment accessible, un approfondissement de l'écriture au service d'un message qui alerte sur une société mercantile, déshumanisée et complètement dépassée par la crise sanitaire.
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Comme au théâtre, où les personnages parlent entre eux tout en s'adressant au public, Vincent Blénet donne ici la réplique à ses interlocuteurs privilégiés devant nous, en nous criant son message de révolte ou de désespoir.
Ceux avec qui il converse habitent son imaginaire, ce sont Marilyn Manson, Eminem, Brad Pitt, Leonardo DiCaprio... et encore bien d'autres, moins connus mais essentiellement « Gothiques » ou « Christiques ».
Nous assistons dans cet ouvrage à l'élaboration d'un univers qui tente de se reconstruire, comme si les fragments d'un miroir brisé cherchaient à retrouver leur unité.
Et si l'écriture, si particulière ici, était en elle-même un message d'espoir ? Une tentative de retour à la vie ? Une douloureuse recherche de l'équilibre et de la raison ?
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" I am the damned archangel, forced to observe the decay of a world in which i feel a hostage among this lost generation. " Such are the first lines of Vincent Blénet's new novel The Raising of the Damned. This book is both an initiatory journey and a spiritual quest. The authoridentifies with Archangel Gabriel who " has lost the notion of his own eternity ". He is an immortal in God's service and he tries to help people when they meet death.
This text is a desperate hymn to love since the author says he feels more " at home " meditating among the tombs of the past than being in our today's world. A forlorn and touching search for love and recognition. He writes : " I wiet like a dead rose ".
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It is 12.30 pm on a Spring day and I'm on my way to the « Château Abbaye de Cassan » in order to write an article on the rock artist Marilyn Manson's art exhibit opening, in this ancient place. My editor-in-chief gave me the contact information... »
This fiction is starting both like a quest and an investigation. The author, Vincent Blénet, is following a sinuous path towards truth through a particular atmosphere of darkness and Redemption. He is part of the play he tries to stage - a romantic character in a Flowers of Evil world - and he begins to find another answer.
The Goth Christiancore Miracles is a book for people in search of something new and it is a way to give sense to life. The author said in a recent interview : « When I was an adolescent, I was confused, alone and I tried to escape from my religious and social fears. One day, I became able to create my universe thru these pains. By now, I spread my wings with the mental support of Marilyn Manson. » -
L'Archimandrite ténébreux est de retour. D'une écriture tranchante qui taille dans la chair des croyances comme des préjugés, l'auteur nous lance au visage - tel le chevalier son gant - la dure réalité d'un monde atrophié et insensible : le nôtre. L'offensé garde le choix des armes ; simple lecteur prépare ta défense. Dans ce roman à l'atmosphère « gothico-christique », les anges planent au-dessus des visages en feu... deux mondes se mélangent : la vie quotidienne du narrateur et l'univers trash de Marilyn Manson, pour nous entraîner dans un univers « merveilleux » c'est-à-dire cruel, entre rêve et réalité, à la fragile lisière des battements d'un coeur palpitant. Démesuré. Déconcertant. Attention, cette douleur-là n'a rien d'un jeu. Play @ vif.« Lorsque j'écris en écoutant ma musique, j'oublie mon chaos apocalyptique journalier et passé, je concentre mon esprit tourmenté à développer dans mon écriture l'élaboration de mon univers religieux. Je canalise mes souffrances ainsi que mes émotions afin d'exprimer mon âme dans un texte, là mes blessures se font silencieuses et laissent place au prêche de l'Archimandrite death métal qui déploie ses ailes littéraires ésotériques. Je me sens exister en paix. »Vincent Blénet signe ici son 9e opus. Un roman semi-autobiographique bien construit et d'une sincérité presque déconcertante qui lui donne sa force et son originalité.
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RÉSURRECTION DÉCLINÉE : Partagé entre son affection envers
Marilyn Manson et son aversion envers sa propre personne,
L'Archimandrite Ténébreux se dévoile à nouveau. Dans un monde
où l'espoir semble se soustraire à sa volonté, où douleurs, décadence
et déceptions rythment son quotidien et où son âme peine à trouver
son chemin dans un monde hostile, Vincent Blénet nous fait
découvrir son univers, son plus profond univers. Celui que seuls,
ceux qui daignent briser les dogmes pourront pénétrer.
Fou ? Non, l'auteur ne l'est pas !
Il convient seulement de s'immiscer dans son esprit, afi n de
comprendre les nuances de sa prosodie et se laisser bercer par ces
réfl exions dichotomiques.
Incompris ? Certainement.
Mais respecté, aimé et cajolé par Hélène, celle qui fut sa grand-mère
et qui, malgré son grand âge, soutenait sa passion pour Marilyn
Manson et qui put voir qu'au plus profond de l'Archimandrite
Ténébreux se cache un jeune homme qui ne demande qu'à aimer
et être aimé.
Partez donc avec Vincent Blénet et Marilyn.Manson, laissez-vous
tenter par cette aventure dont vous reviendrez, sans doute, transformés. -
Un recueil de poésies évoquant l'univers religieux, la souffrance, la romance et la nostalgie.
L'auteur livre au travers de ces poèmes ses ressentis sur la douleur d'exister, sa vision du monde actuel et ses désillusions quant aux rapports amoureux.
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Vincent vient de perdre brutalement son père Robert ; un décès imprévisible et soudain qui le rend très malheureux, et ce malgré le peu d'amour que celui-ci lui a témoigné de son vivant.
Se refusant à médire sur la personne d'un défunt, il ne peut cependant s'empêcher de se dire que son père ne l'aimait pas, rajoutant ainsi à sa peine.
Une lutte intérieure mêlée d'introspection s'installe alors dans son esprit, et Vincent trouve un exutoire dans sa passion pour le chanteur Marilyn Manson, sur qui il s'est mis à écrire. Son parcours pour réaliser son rêve et rencontrer cet artiste dont il est un fan invétéré sera semé d'embûches...
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Voyages imaginaires construits autour et avec Marilyn Manson, personnage très controversé, icône gothique provocatrice, artiste créatif singulier.
L'auteur a découvert et commencé à étudier ce personnage atypique il y a huit ans. Il a ainsi voulu créer des fictions mêlant cet homme hors norme et à la réputation sulfureuse à des situations toutes plus insolites les unes que les autres. C'est avec une plume pleine d'ironie et de dérision que Vincent Blénet (baptisé « l'archimandrite ténébreux » par ses amis prêtres dominicains) nous fait découvrir cet artiste auto-proclamé « antéchrist superstar » à Rome, à Lourdes, au cimetière du Père-Lachaise, ou encore au Château-Abbaye de Cassan, dans des situations rocambolesques...
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Nous voici face au nouvel ouvrage de l'Archimandrite ténébreux Le Hollandais volant titre qui fait grandement référence à la légende éponyme. L'auteur puiserait-il l'inspiration dans l'opéra de Wagner, ou bien dans le nom du cocktail de son ami Touch du Temple Bar. Dans ces écrits, Vincent vogue sur trois pôles : fictions, textes personnels et poèmes.
On peut comparer la lecture de cet ouvrage à une sorte de naufrage qui nous emporte au plus profond de son univers.
Mais Vincent se dévoile au fur et à mesure de chaque récit, que ce soit par ses fictions ou ses textes autobiographiques. Chaque lecteur en fera sa propre analyse.
La première série de textes est consacrée à des récits mettant en scène Marilyn Manson, Ozzy, le Pape François et la soeur Rachel qui sont des personnages récurrents chez Vincent Blénet. Des récits à travers lesquels transparaissent aussi ses idées : son affection pour la religion, sa critique du monde contemporain et de l'imperfection du genre humain.
La seconde série nous emmène dans une écriture autre, plus personnelle, dans un style toujours déchirant, empreint de rage mais aussi de poésie. Chaque mot a son sens tout en restant en harmonie avec les autres.
Lancinante, l'écriture de l'Archimandrite ténébreux exprime la douleur qui habite son être. Le point de non-retour semble atteint, et tout espoir qui pourrait illuminer l'existence de Vincent semble s'être fané... Pourtant, derrière ces élégies se ressentent les bribes d'une lueur d'espoir naissante.
Entre rage et passion, cette verve d'écrire qui habite Vincent depuis des lustres, transparait avec grâce et subtilité.
Écrire, c'est donner la vie, mais aussi se donner la vie.
C'est pourquoi le Hollandais volant est sans nul doute une catharsis. -
Lecteurs qui entrez pour la première fois dans l'univers de Vincent Blénet, laissez vos préjugés à la porte, mais activez tous vos neurones. Ici, pas de séduction, pas de respect des convenances verbales, le Bescherelle est renvoyé à son siècle de référence, et des mines très personnelles explosent sous chacun de vos pas. Pour son douzième roman - mais ne serait-ce pas plutôt un docu-fiction ? - l'Auteur a édifié une véritable tour de Babel, où chaque colocataire laisse exploser sa colère ou son désespoir, dans un langage codé qu'apprécieront les habitués des réseaux sociaux. Au fil de ce récit chaotique, l'humour féroce décrypte les rapports sociaux et l'insolence déconstruit la grande arnaque médiatique des People de tous bords. Mais si Vincent Blénet distille sa grande angoisse sur l'état du monde, il partage avec son lecteur quelques éclats de lumière : sa grand-mère bienveillante, partie trop tôt, Tifany, la petite serveuse pleine de vie... ou ses amis dominicains qui se penchent affectueusement sur son épaule depuis son adolescence. L'hommage final à Marilyn Manson confirme avec des mots simples ce qui est au coeur de son parcours d'écrivain : la paix intérieure au bout du chemin ? Marie-France Dewast
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« Je suis le Roi sans être le méritant de mes privilèges.... »
Dans cette ultime Confession, Vincent Blénet dévoile son Je(u). Né pour être aimé, L'Aimé, il a pourtant chevauché ses Géhennes sans relâche, comme un cow-boy de rodéo électrique dans les flammes du ring médiatique.
Chute après chute, il s'est relevé en souriant, ensanglanté du sang honni de ses victimes, ceux qui ont tout misé sur le Paraître et crachent sans pitié sur l'Être de feu, seul rescapé de l'Amour. Son Verbe tranchant ne les a pas épargnés.
Gazhell(e), c'est sa rencontre avec l'Amour. Amour tarifé bien souvent mais Amour pur pour l'Errant. Amour des Mots comme des Êtres, masculins et féminins, Amour de la Chute éternelle et grisante qui met l'esprit en Feu. Le Bien, le Mal, le noir et le blanc, l'Ombre ou la Lumière, l'Enfer (Hell) ou le Paradis...
L'Archimandrite cherche encore sa voie. Il « triche avec les règlements célestes... », « arpente les Abbayes au son des clochers », poursuit l'éternité où sa Chute l'entraîne... « mais Dieu que cette fille est jolie ».
Sait-il qu'il a trouvé le Graal? Quelle que soit la forme qu'il se plaît à revêtir pour mieux nous rendre sa recherche éprouvante, l'Amour est la Force unique et il l'a enlacé.
Paix à son Âme.
Sur son Arbre de vie, Vincent Blénet a accroché de nombreux fruits, acides et explosifs, gorgés de bruit et de fureur, de Rouge et de Noir. à maturité. Un chemin unique pour un être exceptionnel.
Marie Mary -
À travers le recueil de lyrics en anglais Goth'N'Rolla, Vincent Blénet transporte le lecteur dans un voyage onirique où chaque texte est le fruit d'une réflexion imagée.
Cet opuscule décrit un triste éveil mature sur l'abandon de l'espérance et la décision de ne plus vivre ni dans les fantasmes ni les illusions. Vincent y livre aussi un regard critique sur la société actuelle, en perpétuelle déliquescence, souligne la malhonnêteté des politiques, le fanatisme de certaines féministes, la jeunesse décadente qui fait sans cesse fi des traditions et dérive du droit chemin, les illuminés altermondialistes, les deuils, étapes inévitables de la vie, l'enfer de la psychiatrie et des camisoles chimiques, la soif de vengeance... -
Il nous hérisse le poil, il fait grincer les dents de ses plus fidèles, il écorche une fois de plus nos certitudes bien-pensantes, jusqu'au premier sang de l'innocence, pas de merci, pas d'oubli, l'Archimandrite nous entraîne ici encore dans les Abysses infinis de ses cauchemars, jeux de rôle, jeux de pouvoir, jeux érotiques amers et contre tous... Il ne restera rien de ses idoles après ce voyage en terres retrouvées, des cendres et de l'encre... L'essence de sa quête, l'encre de la plume incandescente de ce Chevalier sans peur, mais pas sans tourments. Cent fois sur son clavier il a torturé ses phrases, son âme, ses tripes, pour tenter de partager cet Amour espéré, rejeté, bafoué, haï... Cent fois il a tutoyé les étoiles et l'enfer, écartelé et bouillant de colère, cent fois il a livré son corps aux flammes... Des cendres il reste toujours une étincelle. Cela lui suffit. Vincent Blénet vise nos coeurs. Attention ll vise juste.Vincent Blénet signe à la Compagnie Littéraire son 15e ouvrage.
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Loin des sentiers battus, dans une prose poétique empreinte d'un doux spleen, Vincent Blénet consent que vivre n'est qu'une lente façon de mourir. Ses idéaux annihilés le poignent et dans ses désirs se mêlent la résipiscence et une absence totale de résilience. L'ailleurs l'étiole, les chimères l'asphyxient et ses démons l'enserrent. Vincent est désabusé par le décor pathétique qui rythme son Éden. Révolté, son exutoire est l'écriture, où il se livre à travers 666 nuances de braises.
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Mais qui sont « ces chats noirs de Salem », ces félins qui s'invitent dès les premières pages dans le nouveau livre de Vincent Blénet ?
Peut-être peuvent-ils s'apparenter à chacun d'entre nous, pour peu que la situation s'y prête. Pour peu que l'envie de se défendre et de riposter se manifeste face à un monde qui enferme l'humain dans le virtuel et le mercantile, et par là même dans le mensonge.
Alors, L'Enfer-me-Ment, un simple nouveau titre ou un avertissement ?
Un conseil peut-être... pour éviter que l'histoire se répète. -
Kaléidoscope, ce sont des fragments de miroirs représentant les émotions d'un écorché vif dans une traversée de vie souvent très compliquée et empreinte de douleurs.
L'auteur a voulu montrer, à travers son ressenti personnel, l'autre côté du miroir. Le sombre, celui que la plupart du temps on ne perçoit pas, qu'on ne devine pas.
Au travers de personnages fictifs, l'auteur s'identifie et analyse ce qu'il voit, ce qu'il vit, et les dérives de notre société moderne. Comme une peinture inspirée de l'enfer de Dante.
L'écriture est aussi une libération salvatrice, une porte ouverte sur la lumière, brisant les non-dits. -
S'affranchir et briser ses maux-dits.
Cet ouvrage comporte deux thèmes en étroite connexion : l'addiction et l'accoutumance aux médicaments, ainsi que la misère sexuelle pour un homme hétérosexuel sans moyens, bouffé par les camisoles chimiques.
Comment s'affranchir et se définir sincèrement en brisant ses maux-dits et mieux avancer vers l'À-venir, malgré une condition physique diminuée par les instances médicales ?
« Matin Transylvanien » c'est un réveil douloureux lorsque vous essayez d'être conscient après avoir vécu une vie sans vie, sans issue.
« Matin Transylvanien » c'est chercher à vivre sa propre vie et profiter de son existence, même si on s'éveille à 41 ans et qu'on n'a jamais pu être un enfant et un adolescent.