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Alixe
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Les Esclaves-Montures de Bernard Valonnes, énigmatiquement « traduit du manuscrit russe du Comte de T*** », sont les ancêtres de nos « Pony Girls and Boys » contemporains. Certes, nous ne croisons ces attelages que très rarement sur les routes départementales, mais Internet regorge d´associations offrant une multitude d´images de couples en situation, de lieux où l´on peut pratiquer ce sport et de magasins d´accessoires en ligne qui sont prêts à fournir toutes sortes d´harnachements et de tenues diverses.
Le précurseur de cet univers fétichiste semble bien être ce texte proposé dès 1920 par la Select et dont l´intégralité du récit n´est qu´un mélange dosé de domination et d´exploits physiques. Comme tout bon cocktail, il est frais, léger, ne semble pas prêter à conséquence, fleure bon l´herbe tendre et le cuir tanné, tout en nous asservissant à un doux vertige déconcertant, non dénué de sensualité.
Le texte est accompagné de dix illustrations et photographies.
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L´arrogante comtesse de X., qui se désigne elle-même « de Lesbos », règne sans partage sur une horde de tribades initiées et affranchies. En infiltrant cette secte perverse, Hercule, le héros, réussira-t-il, avec la complicité de maître Jacques, à préserver les valeurs et l´existence même de la prédominance de l´homme ?
Publié à la Belle Époque où règne le lesbianisme triomphant, La comtesse de Lesbos illustre tous les fantasmes que cette domination féminine impose. Son auteur, l´énigmatique et talentueux pornographe E. D., décrit d´une plume alerte - et en toute crudité - un monde interdit aux hommes mais qui, ô combien, hante de tous temps leurs rêveries...
Le texte est accompagné de quatorze illustrations et photographies.
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La suite des aventures de la très dévergondée Mademoiselle M... Monique est une héroïne qui n´a pas froid aux yeux, que l´on dit fort jolis d´ailleurs. Oisive, mais son corps plantureux offert à toutes les expériences, cette jeune femme, dirigée par sa tante, découvre dans ce deuxième volet de ses aventures la poigne de fer de Selma, Norvégienne à la tête d´un Club que la chair et le cerveau commandent. Et l´imagination lubrique de Selma n´a d´égale que l´appétit de découverte de la très libérée Mademoiselle M... Même si l´on n´a jamais rien su de l´auteur de Mademoiselle M..., depuis les années cinquante cet ouvrage rarissime jouit d´une extraordinaire réputation auprès des quelques amateurs qui le possèdent.
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Sabine, ancienne élève d´une institution religieuse, raconte ses années de collège. Menant une paisible vie studieuse le jour, entre cours, réfectoire et récréations, c´est en revanche à un mystérieux sabbat qu´elle se livre, la nuit venue, dans la salle de réunion du « Club », où se déroulent des rites et des cérémonies d´initiation, des orgies et des supplices, et surtout l´adoration de la « Sublime Bougie ».
Publié à tirage secret en 1991, à 75 exemplaires sur papier vergé, Le club de la sublime bougie, introuvable, est aujourd´hui enfin réédité dans la collection « Libertine ».
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Imprimé clandestinement aux alentours de la première guerre mondiale, très peu diffusé et jamais réimprimé, La Femme aux chiens a rencontré de grandes difficultés de circulation en raison de sa violence sans concession. Ce soi-disant « recueil documentaire psycho-pathologique sur les aberrations sexuelles chez la femme normale tombant dans la bestialité la plus raffinée » est en fait un catalogue de fantasmes qui n´a pas d´équivalent de nos jours, où personne ne se risquerait dans de telles voies...
L´Érotin est le recordman du porno modern style. Cet auteur aurait écrit et publié soixante-seize volumes de 1891 à 1924, et laissé onze manuscrits. Outre l´Érotin, il signait Le Nismois, Fuckwell, Zéphir, Caïn d´Abel, Léna de Mauregard, Trix, Tap-Tap (ces derniers pseudonymes pour les ouvrages de flagellation, bien entendu). Les romans de l´Érotin connurent un grand succès, dû à l´inouïe imagination érotique de l´auteur.
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À l´époque où les armées françaises accumulent victoire sur victoire sous les bannières de l´Empereur, un Marseillais désoeuvré décrit à son épouse ses faits d´armes et de gloire... dans les bordels parisiens. Par bonheur, les aimables oreilles de son « cher trésor » sont robustes et sa pudeur loin d´être effarouchée par les propos imagés de son « aimable mari » sollicite et encourage ses comptes-rendus par ses réponses les plus crues. Ce caractère descriptif des moeurs de l´amour vénal est fréquent depuis la Révolution. Lorsque les provinciaux montent à la capitale, les Parisiens pétris de bonnes intentions proposent moult guides leur permettant d´échapper aux pièges de la horde des courtisanes qui abondent plus particulièrement au Palais-Royal. Il est bien agréable de se projeter à l´aube du xixe siècle, en compagnie de ce cher « B. . . » qui, à travers ses descriptions complaisantes et amusantes, aidé de son langage coloré si particulier, fait revivre l´atmosphère enivrante de ce quartier de débauche unique et singulier aujourd´hui endormi à jamais.
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Le gouvernement d´un petit État rétablit un jour d´un trait de plume l´usage des châtiments corporels. Ce nouveau décret, affiché dans les rues, ne produit pas grande impression sur les passants et passantes, mais perturbe les principes pédagogiques d´un internat de jeunes filles. Sous la houlette de Madame - directrice de l´établissement -, Fraülein, Miss et Mademoiselle sont en charge de l´application de cette nouvelle circulaire. Et elles s´en donnent à coeur joie pour éduquer des jeunes filles de plus en plus turbulentes : fessées et volées de bois vert sont accueillies avec plus ou moins de plaisir par les internes indisciplinées, qui en redemandent toutefois bien souvent. Après avoir publié plusieurs centaines d´ouvrages de littérature flagellomaniaque, les quelques éditeurs des années trente doivent trouver de nouveaux concepts pour continuer à satisfaire leurs amateurs. Le bouleversement vient donc de la qualité des illustrations hors-texte. La plus talentueuse des signatures, celle de « Carlo », reste une énigme en matière de bibliophilie érotique. Il en est de même de l´auteur de ce texte, Desiré Van Rowel. Cela ne nous empêchera pas d´apprécier le charme de ces obsessionnelles internes et maîtresses, transfigurées par le trait de Carlo, inégalable illustrateur de cette époque où la domination vivait ses heures de gloire.
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