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Osmose
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La grande aventure des chrétiens celle de la sainteté et de l´amour,tel est le lien qui unit les homélies de ce recueil. Au commencement de cette aventure : Dieu. Il s´agit au fond de la seule véritable histoire d´Amour: d´un coté Dieu qui donne qui se donne qui pose son regard sur chacun de nous en particulier, de l´autre l´homme qui peut accueillir cet Amour et y répondre ou le refuser. Textes non magistraux mais qui reflètent cet amour de l´homme par Dieu et qui donnent des pistes et de l´élan à tout homme de bonne volonté qui veut s´engager plus en avant dans cette aventure.
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«Chez Rosalie» vous fera voyager dans le temps et dans les Monts du Forez à travers lÂ'amitié unique dÂ'une fillette et de sa vieille voisine Rosalie. Loin des appels de sa mère, la petite court à toutes jambes sur le chemin de terre bordé de fossés herbeux, en direction dÂ'une maisonnette. Elle balance, au rythme de ses enjambées, un petit sac en toile bleue noué par un cordon de laine. QuÂ'importent la cousine et ses deux fillettes qui débarquent à la maison, en vue dÂ'un bon après-midi de bavardage pour les mamans et dÂ'amusement pour les enfants. Echappée discrètement de la demeure familiale, Lucie préfère, pendant ce temps, rendre visite à la mémé Rosalie. Elle a beaucoup mieux à faire que de jouer à la marelle ou à lÂ'épicière avec des filles de son âge. Apprendre à faire de la dentelle ou broder, en écoutant les histoires de la vie dÂ'autrefois si joliment racontées par cette vieille femme, voilà tout ce qui enchante
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Natif de Franche-Comté, un certain Aimé de Loy (1798- 1834), esprit brillant, mais tourmenté sa vie durant par un irrésistible désir d ailleurs, tourbillonna sans cesse ici bas. Emporté par son bâton de pèlerin d une contrée à l autre, il n en faisait qu effleurer la terre, semblable à ses poèmes, des feuilles jetées aux vents. Il se donnait pour horizon de retrouver femme et enfants abandonnés peu près son mariage une fois renommée littéraire et fortune assurées. Il passa ainsi son existence à courir après ce mirage, une aspiration toujours inquiète et jamais réalisée. Alors, à la fois tenaillé par un vagabondage perpétuel, et par un éternel remords qui l incitait à rentrer au bercail, l homme vécut au pire des moments de désespoir, et au mieux un mal- être profond. Pourtant sa culture et son , talent d écriture le faisaient vite remarquer dans les milieux littéraires. Au hasard de ses pérégrinations, il séjourna quelques mois à Lyon, où il se lia d amitié avec Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859), pionnière très tôt célèbre d une future lignée de femmes poètes.
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Cela se passait il y a un demi-siècle, à Saint Bonnet le Courreau, dans le hammeau des Massons, à mi-pente entre la plaine du Forez et lÂ'Auvergne. Dans ce trou, à la croisée de chemins de terre mais à lÂ'écart des routes goudronnées, lÂ'eau était la maitresse des lieux. Elle dévalait la pente rude en cascades, en rivières ou en ruisselets et son bruit envahissait tout lÂ'espace. Ainsi, lÂ'ardeur infatigable du Vizézy faisait tourner la scierie, les meules du moulin à farine et de lÂ'huilerie et même la baratte de Philomène. Cet univers mÂ'enchantait. A cette époque-là, lÂ'échange entre adultes et enfants se passait souvent de mots. QuÂ'importe, jÂ'avais tout le loisir dÂ'observer et parfois de participer aux multiples activités. Si des questions me venaient, aussitôt je mÂ'inventais des réponses merveilleuses à la mesure de mes rêves...
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Pierre Granjon n'était pas un héros et n'avait aucune vocation à l'être. Il n'avait même Aucune idée précise sur la guerre, ce qu'elle était et pouvait receler d'horreurs. Lorsqu'il serait appelé aux armes, en Août 1914, le front ne serait pour lui qu'une sorte de terre lointaine inconnue où il découvrirait avec stupeur que la viande humaine se découpait en tranches épaisses.
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Les vacances arrivaient, et je décidai enfin de partir vers cette Italie du Nord qui me hantait depuis l'enfance. Je rencontrai isabelle, journaliste sans ambition mais de grand talent. Comme d'habitude nous avons presque aussitôt parlé de littérature. « Je viens d'écrire » me dit-elle « la préface d'un livre amusant écrit par un vieux monsieur, qui sur le tard s'est découvert un goût pour l 'écriture. Il raconte la vie au jour le jour de sa famille.
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Madame, votre fils est mon roi.
Chateaubriand rendit ainsi hommage à Marie-Caroline, belle-fille de Charles X, mère et régente d'un enfant monarque qui ne régna jamais. Emprisonnée après une folle équipée, cette jeune héroïne à la Walter Scott avait entraîné dans son sillage une poignée de nobles d'esprit chevaleresque. Sa stupéfiante audace leur fit reprendre le flambeau de la chouannerie ; jusqu'à renoncer pour la cause légitimiste aux honneurs et à la liberté.
Ce livre utilise de nombreux documents d'époque, dont la plupart sont restés encore inexploités. La Régente oubliée emporte ainsi le lecteur dans une succession d'évènements fertiles en rebondissements, jusqu'à l'un des plus grands procès du XIXe siècle, qui passionnera la France entière. Commencé à la Cour d'assises d'Aix-en-Provence, il fut intégralement repris, et trouva son épilogue, à la Cour d'assises de Montbrison, ancienne préfecture de la Loire.
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" Je t'attends, je t'aime ".
Histoire banale d'une découverte : un SMS sur un mobile, et une autre femme dans le coeur de mon homme. Et moi, j'écris à ma rivale. Juste pour lui exposer mes doutes, et les errances qui m'ont amenée à la découvrir, elle la jeune ingénue. C'est une manière de confier ma naïveté, d'affirmer mes erreurs aussi. Sans méchanceté, ni désir de vengeance. Simplement pour partager cette expérience somme toute ordinaire d'une trahison et de l'amertume qui en résulte.
Pour aussi prévenir, pour dévoiler y compris à ELLE, Floralie le cheminement terrifiant et inexorable qui conduit un couple à sa perte.
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Avril 1814, entre la plaine et les monts du Forez...
Montbrison l'abrita, puis Saint-Bonnet-le-Château. Dans sa fuite éperdue face à l'invasion autrichienne, l'épouse du général chargé de défendre le département de la Loire ignorait que Napoléon, après Waterloo, ferait d'elle une reine sans couronne... comme l'avait prédit une voyante à sa naissance. A peine exilé sur un rocher lointain, il avait confié à l'auteur de ses Mémoires : " - Elle ne m'aime pas. - Ce que je sais, Sire, c'est qu'elle m'a dit à bord : l'Empereur gagne à être vu de près. Quand je suis venue, je suivais mon mari, à présent, c'est l'Empereur que je suis à Sainte-Hélène. " Lorsque sa dernière Dame de Coeur quitta Sainte-Hélène, l'île se referma sur le souverain déchu. Napoléon aurait beau scruter l'océan, jamais il n'y retrouverait ses yeux couleur d'écume. Elle semait des fleurs sur ma tombe. Depuis son départ, il n'y pousse plus que des ronces. Plus tard le souvenir de la fabuleuse épopée saurait magnifier et nimber de mystère ces ultimes amours...
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Comme promis, Maria était retournée à Auxonne avec sa fille, qu'elle avait décidé d'appeler Joséphine. Elle était rentrée le coeur lourd, ne sachant trop ce que Napoléon pensait réellement d'elle, sans être sûre de la couleur de ce retour aux sources : punition ou récompense ? En tout cas, elle avait été traitée avec beaucoup d'égards lors de son retour en voiture jusqu'à Strasbourg. Le convoi funéraire du Maréchal Bessières s'arrêtant là, la jeune maman continua sa route à pied. Auxonne avait bien changé depuis son départ initial : les rues étaient pavées, les villageois de plus en plus riches. La jeune femme rejoignit la ferme du Tondu, où elle récupéra Joachim et Pauline. Elle y resta un temps, puis reprit le chemin de la fermette qui appartenait à Paul en compagnie des enfants. Personne ne savait où était passé Paul, et Maria n'avait aucune nouvelle d'Auguste : l'Empereur lui avait-il seulement appris qu'il était père ? L'avait-il seulement revu depuis la débâcle de Leipzig ?