Un coeur simple ; l'affaire Lemoine (LECTURE ACCOMPAGNEE PAR JULIETTE DE DIEULEVEULT)

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À propos

Cette nouvelle publiée en 1877 dans un recueil de trois contes entamés en 1844, peut être considérée comme une oeuvre testamentaire à un double point de vue : dernière oeuvre de fiction achevée par Flaubert, la question de la Foi est y omniprésente et transcende la simple humanité de ses personnages. Un petit chef d'oeuvre de la littérature à (re)découvrir sans attendre.

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  • Auteur(s)

    Gustave Flaubert, Marcel Proust

  • Éditeur

    Gallimard

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    07/09/2000

  • Collection

    La Bibliotheque Gallimard

  • EAN

    9782070414963

  • Disponibilité

    Disponible

  • Longueur

    177 cm

  • Largeur

    123 cm

  • Épaisseur

    1 cm

  • Poids

    102 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Gustave Flaubert

Gustave Flaubert (1821-1880) est l'un des grands maîtres de la littérature française. Ses romans réalistes "Madame Bovary" (1857) et "L'Éducation sentimentale" (1869) sont encensés, malgré un procès pour « outrage à la morale publique religieuse et aux bonnes moeurs » dont il sort acquitté. Il composait ses phrases comme des partitions de musique classique, dont il testait la solidité à l'oral dans son célèbre « gueuloir ». Tandis que l'immense "Bouvard et Pécuchet" (1881), inachevé, ne verra le jour qu'à titre posthume, « Un coeur simple », écrit dans la maturité de l'auteur, est l'un des "Trois contes" (1877), dernier livre publié de son vivant.

Marcel Proust

1871-1922 - Fils d'un médecin réputé, Marcel Proust naît à Paris dans une famille fortunée qui lui assure une vie facile et lui permet de fréquenter les salons mondains.
Après des études au lycée Condorcet, il devance l'appel sous les drapeaux. Rendu à la vie civile, il suit à l'Ecole des Sciences politiques les cours d'Albert Sorel et de Leroy-Beaulieu ; à la Sorbonne ceux de Begson dont l'influence sur son oeuvre sera majeure.
Vers 1900, il part à Venise et se consacre à des questions d'esthétique. Il publie une traduction du critique d'art anglais Ruskin (1904) dont les conceptions le marqueront. Après la mort de ses parents, sa santé se détériore. Il vit en reclus et s'épuise au travail. En 1919, il reçoit le prix Goncourt pour "A l'ombre des jeunes filles en fleurs". Trois ans plus tard, une bronchite l'emporte.

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